ï»żVoilĂ une histoire des L5 qui aurait pu inspirer de trĂšs belles chansons, qui auraient pu se retrouver dans l'Ă©mission Les 500 chansons prĂ©fĂ©rĂ©es des Français diffusĂ©e ce jeudi soir sur M6.. En 2001, Alex Dana et Marjorie Parascandola remportaient la victoire, dans l'Ă©mission Popstars, et intĂ©graient le groupe L5 avec trois acolytes : Claire, Coralie et Lydy - a.k.a Louisy Voici un exemple type de situation qui m'exaspĂšre au plus haut point. Cela s'est passĂ© sur Facebook, en moins de 8 jours avec l'Ă©pilogue aujourd'hui. Hum... je pense qu'aprĂšs cet article, la personne concernĂ©e me mettra en liste noire et me qualifiera de vilains noms d'oiseaux mais Ă  chacun son chemin... La prise de contact Je remarque qu'une dame inconnue partage mes articles sur son mur et les commente avec de nombreuses Ă©loges Ă  mon Ă©gard. J'Ă©cris Ă  cette dame afin de la remercier et je lui adresse une demande de contacts. Flatter le futur pigeon Lors de sa rĂ©ponse, elle me tartine la manche et me couvre de compliments au sujet de mon chemin de vie et de mes activitĂ©s de thĂ©rapeute. Elle s'intĂ©resse Ă  ce que je suis et ce que je fais; elle me glorifie; me porte aux nues.... Elle est mĂ©decin mais croit plus aux mĂ©decines alternatives qu'Ă  la sienne La carotte devant le nez Elle me dit qu'elle est mĂ©decin mais a quelques problĂšmes de santĂ© et croit plus aux mĂ©decines parallĂšles qu'Ă  la sienne. Qu'elle travaille en Afrique et revient en France 4 fois par an et qu'elle viendra me consulter dĂšs qu'elle sera en France dans quelques jours. La carotte rĂ©trĂ©cit Finalement, voyant que je suis en Lorraine et elle en Bretagne, elle opte pour une sĂ©ance de soins par webcam et en demande le prix. Je lui donne le lien de la page de mon site Web oĂč elle trouvera toutes les explications qu'elle dĂ©sire. Proposition d'un Ă©change de soins Elle dĂ©clare qu'en plus de ses activitĂ©s, elle donne Ă©galement des soins d'une Ă©nergie quantique tout comme moi. Elle me propose un Ă©change de soins. Le premier refus du pigeon Je suis surpris par sa demande car jusqu'alors, elle Ă©tait en demande pour recevoir des soins Ă©nergĂ©tiques Ă  cause de problĂšmes qu'elle connaĂźt. Je refuse sa proposition car je ne suis pas demandeur de pareille prestation, je dispose de mes propres sources d'approvisionnement en soins Ă©nergĂ©tiques, je ne la connais pas et, si elle a des problĂšmes de santĂ©, elle risque de me transmettre des Ă©nergies tronquĂ©es qui me porteront prĂ©judice. L'objet initial de la prise de contact Alors elle me dit qu'elle ne saurait pas me payer une sĂ©ance de soins par webcam et demande Ă  recevoir une prestation de soins Ă©nergĂ©tiques gratuite. Elle invoque les Ă©nergies de partage de l'aprĂšs 2012 et tout doucement elle Ă©met des arguments dont le but est de me culpabiliser. Le deuxiĂšme refus du pigeon Je refuse car il y a longtemps que je ne donne plus de soins gratuits sur demande. Quand je donne du gratuit, c'est moi qui dĂ©cide de la personne et du moment oĂč je le fais. Croyez bien que de nombreuses personnes reçoivent rĂ©guliĂšrement des soins gratuits de ma part mais je ne le fais jamais sur demande. Sauf venant de mes partenaires Ă©nergĂ©tiques. De plus, je l'informe que je dĂ©sire me dĂ©solidariser de la mouvance "New Age" que connaĂźt le domaine des soins Ă©nergĂ©tiques ces derniĂšres annĂ©es; de ses pratiques et de son Ă©tat d'esprit idĂ©alistes mais pas souvent justes. Ce qui m'intĂ©resse, c'est soigner les gens qui me consultent et ce, de la façon la plus professionnelle et efficace possible; informer et former mais certainement plus dire "tout le monde il est mauvais et nous allons nous unir pour faire un monde meilleur, inondĂ© d'Amour, de LumiĂšre" et ensuite se regarder le nombril. La culpabilisation du pigeon L'argumentation employĂ©e est typique d'une bonne manipulatrice donc elle ne vaut pas la peine d'ĂȘtre renseignĂ©e ici. L'expression du dĂ©pit Ensuite, elle m'Ă©jecte du piĂ©destal oĂč elle m'avait mis et me traĂźne dans la boue avec autant de vĂ©hĂ©mence que lorsqu'elle me portait aux nues. Cette Ă©tape se produira lorsqu'elle lira cet article, c'est Ă©vident. Cette situation me fait penser Ă  de l'escroquerie psychologique, donc Ă  un non respect de l'autre. Et si l'on ne respecte pas l'autre ni son avis, c'est que l'on ne se respecte pas soi-mĂȘme. Heureusement que ce genre d'histoire m'arrive de plus en plus rarement car "je rayonne autour de moi ce que je suis donc j'attire Ă  moi ce que je suis". Si ça m'arrive moins souvent maintenant, c'est que je progresse correctement sur mon chemin. N'empĂȘche que sous le couvert d'avoir l'esprit ouvert, de recevoir de belles Ă©nergies, d'avancer dans la LumiĂšre, cette dame a encore du pain sur la planche et du travail Ă  faire pour Ă©clairer son Ăąme. Le chemin est le mĂȘme pour tout le monde mais tout le monde marche Ă  son rythme sur le chemin. Chaque personne qui marche sur son chemin a le droit de ne pas avoir le mĂȘme avis et de ne pas vivre comme tout le monde. Courage Madame, la LumiĂšre est devant. Il vous suffit d'avancer en confiance sur votre chemin, en respectant les autres et leurs avis. De la sorte vous apprendrez Ă  vous respecter vous-mĂȘme. Coeurdialement. RenĂ©. ********** RenĂ© Dumonceau Facilitateur de mieux-ĂȘtre RĂ©vĂ©lateur du potentiel Ă©nergĂ©tique et intuitif de chacun Initiateur du Reiki Verseau, des MĂ©thodes RĂ©cipe et Iesbi, Si vous dĂ©sirez dĂ©velopper vos capacitĂ©s Ă©nergĂ©tiques et/ou intuitives, cliquez sur l'image pour dĂ©couvrir mon catalogue de formations Ă©nergĂ©tiques et spirituelles... Si vous dĂ©sirez ĂȘtre conseillĂ© ou simplement discuter de vos capacitĂ©s d'Ă©veil spirituel... Contactez-moi Laculture appartient Ă  tout le monde mĂȘme si on ne la comprend pas toujours, ce n'est pas grave. C'est pour cette raison que l'art contemporain est plus facile avec les jeunes publics. Avec la
DonnĂ©es 11 juin 2018 - Reproduction interdite11 % de la population mondiale, soit 844 millions de personnes, n’a pas accĂšs Ă  l’eau potable contre 19 % en 2000. 11 % de la population mondiale, soit 844 millions d’individus, n’a pas accĂšs Ă  l’eau potable en 2015 selon le rapport 2017 sur les progrĂšs en matiĂšre d’assainissement et d’alimentation en eau en anglais de l’Organisation mondiale de la santĂ© OMS et de l’Unicef. De rĂ©els progrĂšs ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s dans les derniĂšres dĂ©cennies par rapport Ă  2000, le nombre de personnes ayant accĂšs Ă  l’eau potable est passĂ© de 5 Ă  6,5 milliards. L’eau potable est, avec l’alimentation et le logement, un pilier essentiel de la qualitĂ© de vie. D’abord pour une question d’hygiĂšne l’eau souillĂ©e est l’un des vecteurs majeurs des maladies qui font le plus de morts sur la planĂšte, notamment les diarrhĂ©es. Ensuite, parce qu’on ne peut vivre sans eau potable ceux qui n’y ont pas accĂšs sur place sont forcĂ©s de consacrer une grande part de leur temps et de leur Ă©nergie Ă  s’approvisionner, en se dĂ©plaçant vers des sources alĂ©atoires et dont la qualitĂ© est mal contrĂŽlĂ©e. L’OMS considĂšre que l’on a accĂšs Ă  l’eau s’il faut se dĂ©placer Ă  moins de trente minutes aller-retour, ce qui est dĂ©jĂ  considĂ©rable. Avertissement ces donnĂ©es constituent des ordres de grandeur, la collecte de donnĂ©es statistiques pouvant ĂȘtre peu fiable dans les rĂ©gions les plus pauvres du l’eau Ă  domicile aux eaux de riviĂšre Parmi les 6,5 milliards d’humains qui disposent d’eau potable, 5,2 milliards ce qui reprĂ©sente 71 % de la population mondiale en bĂ©nĂ©ficient Ă  domicile et au moins douze heures par jour. Car pour l’OMS la notion d’accĂšs est large 1,3 milliard de personnes 17 % de la population mondiale ont accĂšs Ă  l’eau mais doivent pour cela se dĂ©placer Ă  moins de trente minutes aller-retour. Un Français qui devrait faire un quart d’heure de marche pour aller s’approvisionner n’aurait pas rĂ©ellement le sentiment d’avoir accĂšs Ă  l’eau ». Parmi les 844 millions de personnes qui n’ont pas accĂšs Ă  l’eau potable, 263 millions doivent se dĂ©placer Ă  plus de trente minutes aller-retour jusqu’au plus proche point d’eau potable. Le plus souvent cette tĂąche trĂšs lourde physiquement est prise en charge par les femmes. 423 millions de personnes boivent l’eau d’un puits ou d’une source d’eau non protĂ©gĂ© des contaminations. Pas moins de 159 millions de personnes captent leur eau de boisson dans une riviĂšre, un lac ou un canal d’irrigation, au risque d’une contamination par les produits chimiques et les matiĂšres fĂ©cales. RĂ©partition de la population mondiale selon son accĂšs Ă  l’eau potable Nombre en millionsRĂ©partition en %Eau potable Ă  domicile*5 23071AccĂšs Ă  l'eau potable Ă  moins de 30 min. aller-retour1 27517Population ayant accĂšs Ă  l'eau potable6 50589AccĂšs Ă  l'eau potable Ă  plus de 30 ou source non protĂ©gĂ©4236Eaux de surface1592Population sans accĂšs Ă  l'eau potable84411Ensemble7 349100*AccĂšs Ă  l’eau potable en toute sĂ©curitĂ© », c’est-Ă -dire Ă  la fois Ă  domicile, au moins douze heures par jour et eau non contaminĂ©e. Source OMS, Unicef. DonnĂ©es 2015 – © Observatoire des inĂ©galitĂ©sSelon les rĂ©gions du monde L’évolution la plus significative concerne l’Asie de l’Est et Asie-Pacifique oĂč le pourcentage de personnes n’ayant pas accĂšs Ă  l’eau potable est passĂ© de 20 % en 2000 Ă  6 % en 2015, soit une diminution de 278 millions du nombre de personnes concernĂ©es. L’Afrique subsaharienne n’a connu qu’une amĂ©lioration relative. Dans l’Est et le Sud de l’Afrique, la part des habitants n’ayant pas accĂšs Ă  l’eau est passĂ©e de 59 % en 2000 Ă  47 % en 2015. Dans l’Ouest et le centre, ce pourcentage a diminuĂ© de 52 Ă  38 %. Mais la population de ces deux rĂ©gions est en forte progression dĂ©mographique. En valeur absolue, le nombre de personnes sans eau potable y a augmentĂ© de 52 millions en quinze ans, de 372 millions Ă  424 millions. Source OMS, Unicef. DonnĂ©es 2015 – © Observatoire des inĂ©galitĂ©s Graphique DonnĂ©es Selon les pays Entre 2000 et 2015, comme lors de la dĂ©cennie prĂ©cĂ©dente, les grands pays d’Asie ont connu des progrĂšs importants. En Inde, la part de la population ayant accĂšs Ă  l’eau potable est passĂ©e de 80 Ă  88 % en quinze ans, soit 258 millions de personnes supplĂ©mentaires. L’IndonĂ©sie a connu une Ă©volution comparable. En Chine, 96 % de la population est dĂ©sormais couverte. Des pays Ă  la population moins nombreuse, tels que l’Afghanistan, le Laos ou le Cambodge, ont Ă©galement vu leur taux d’accĂšs Ă  l’eau progresser notablement. En Afrique et au Moyen-Orient, les situations nationales Ă©voluent d’une maniĂšre plus contrastĂ©e. Certains pays ont connu de fortes progressions le YĂ©men a vu la proportion de sa population ayant accĂšs Ă  l’eau augmenter de 27 points en quinze ans, le Mali de 25 points, le NigĂ©ria de 21 points. L’Éthiopie, la Tanzanie, le Mozambique ont Ă©galement connu des progrĂšs significatifs, mais ces pays n’offrent encore l’eau potable qu’à moins de la moitiĂ© de leurs habitants. Enfin, parmi les pays oĂč l’eau potable est la plus rare, plusieurs n’ont connu que de modestes progrĂšs entre 2000 et 2015. Citons par exemple l’Ouganda la part de la population couverte n’a progressĂ© que de 9 points et environ 6 personnes sur 10 restent privĂ©es d’eau potable. Plusieurs Ă©lĂ©ments doivent conduire Ă  nuancer ces progrĂšs. D’abord, rien ne dit qu’ils soient dĂ©finitifs, notamment pour les pays qui connaissent une trĂšs forte croissance dĂ©mographique. Ainsi, l’Inde est confrontĂ©e actuellement Ă  de graves pĂ©nuries d’eau liĂ©es Ă  la surexploitation des nappes phrĂ©atiques, ce qui conduit la population Ă  s’approvisionner en une eau de qualitĂ© moindre [1]. La surexploitation du stock » d’eau contenu dans ces nappes – qui rĂ©sulte d’abord des besoins de l’agriculture et de l’industrie – risque de trouver ses limites et il faudra bien trouver des alternatives. Ensuite parce que la notion mĂȘme d’eau potable » varie selon les pays ce qui est considĂ©rĂ© comme potable dans certains pays pauvres est trĂšs loin des normes de qualitĂ© des pays riches. On peut survivre en la buvant, mais la prĂ©sence de substances toxiques peut conduire au dĂ©veloppement de maladies par la suite. L'accĂšs Ă  l'eau potable par pays Part de la pop. ayant accĂšs Ă  l'eau potable en % / 2000 Part de la pop. ayant accĂšs Ă  l'eau potable en % / 2015Progression entre 2000 et 2015 en millionsMonde81891 223Pays Ă©mergentsInde8088257,6Chine7896106,1BrĂ©sil949732,1Mexique899824,2IndonĂ©sie759046,0Pays en dĂ©veloppement Éthiopie173932,9Mozambique22479,7Afghanistan276312,8Ouganda303915,3Tanzanie325019,5YĂ©men43709,0Laos468012,8NigĂ©ria466759,3Mali49746,6Cambodge52753,4Vietnam789113,2Bangladesh959729,7Source OMS, Unicef. DonnĂ©es 2015 – © Observatoire des inĂ©galitĂ©s Photo / CC By NC ND Unicef Ethiopia
Toutle monde y trouve son compte: le public reçoit sa dose d’adrĂ©naline – mĂȘme s’il se plaint du prix prohibitif de son plein de carburant – les auteurs perçoivent leurs droits, les Ă©diteurs vendent des livres ou de la publicitĂ© sur leur site internet et des traders actifs Ă  GenĂšve profitent de la situation pour gagner, ne serait-ce que quelques cents en plus, sur les millions

Non seulement l'obĂ©sitĂ© est un facteur de gravitĂ© majeur de la Covid-19, mais elle pourrait en plus crĂ©er une rĂ©sistance dans la rĂ©ponse au vaccin. De quoi interroger sur la stratĂ©gie vaccinale, qui prĂ©conise de viser prioritairement les personnes Ă  vous intĂ©ressera aussi [EN VIDÉO] L'immunitĂ© collective est-elle la solution contre la Covid ? Un groupe de scientifiques publie une tribune dans The Lancet, soulignant la dangerositĂ© de la stratĂ©gie d’immunitĂ© collective, qui consiste Ă  laisser s’infecter naturellement une part de la population moins vulnĂ©rable. L'obĂ©sitĂ© est un facteur de gravitĂ© dĂ©sormais bien connu dans la Covid-19. Une Ă©tude menĂ©e par les Ă©quipes du CHU de Lille montre notamment que plus de 47 % des patients infectĂ©s entrant en rĂ©animation sont en situation d'obĂ©sitĂ©, et qu'une obĂ©sitĂ© sĂ©vĂšre indice de masse corporelle supĂ©rieur Ă  35 augmente significativement le risque d'ĂȘtre placĂ© sous respiration mĂ©canique invasive, indĂ©pendamment de l'Ăąge, de l'hypertension artĂ©rielle et du diabĂšte. Une autre large Ă©tude rĂ©alisĂ©e dans la rĂ©gion de New York indique que l'obĂ©sitĂ© multiplie par 2,7 le risque d'hospitalisation en raison de la Covid-19 et jusqu'Ă  6,2 pour un IMC supĂ©rieur Ă  40. Face Ă  ce constat sans appel, il apparaĂźt donc logique de placer les personnes obĂšses sur la liste prioritaire des personnes Ă  vacciner dĂšs qu'un vaccin sera personnes obĂšses produisent une moindre rĂ©ponse immunitaireSauf que malheureusement, le vaccin contre la Covid-19 risque justement d'ĂȘtre inefficace chez les personnes obĂšses. Plusieurs facteurs contribuent Ă  cet Ă©tat de fait. L'obĂ©sitĂ© peut perturber les rĂ©ponses immunitaires, ce qui rend les patients obĂšses plus vulnĂ©rables aux infections en gĂ©nĂ©ral, qu'elles soient bactĂ©riennes, ou virales. Selon une Ă©tude de 2017, les adultes obĂšses ont deux fois plus de chance d'attraper quand mĂȘme la grippe quand ils sont vaccinĂ©s que les personnes avec un poids normal. La production d'anticorps reste pourtant identique, mais les lymphocytes T, qui activent la destruction des virus, sont affectĂ©s. Nous avons constatĂ© que les cellules T CD4+ et CD8+ d'adultes obĂšses et en surpoids sont moins efficaces et fonctionnelles que celles d'adultes de poids sain », Ă©crivent les adipeux et microbioteOn sait Ă©galement qu'il existe des interactions complexes entre le tissu adipeux et le systĂšme immunitaire, ainsi qu'entre les perturbations mĂ©taboliques et l'inflammation. L'inhibition de l'activitĂ© enzymatique de la DPP4, une protĂ©ine transmembranaire du tissu adipeux, supprime par exemple la prolifĂ©ration des cellules T et la sĂ©crĂ©tion de cytokines pro-inflammatoires, telles que les interleukines. L'obĂ©sitĂ© est par ailleurs liĂ©e Ă  une altĂ©ration du microbiote intestinal, nasal et pulmonaire. Or, le microbiote exerce une grande influence sur le systĂšme immunitaire. En 2009, des chercheurs ont ainsi montrĂ© que la prise d'antibiotiques, qui dĂ©truisent les bactĂ©ries intestinales, entraĂźne une altĂ©ration significative de la rĂ©ponse au vaccin contre la grippe H1N1 ».Vacciner les personnes obĂšses contre la Covid, est-ce inutile ?D'autres Ă©tudes ont dĂ©jĂ  montrĂ© une moindre efficacitĂ© du vaccin contre la grippe, l'hĂ©patite B ou la rage chez les personnes obĂšses. Bien que les donnĂ©es soient encore absentes concernant le SARS-CoV-2, il est probable que la tendance soit la mĂȘme. Alors que faire ? Une des possibilitĂ©s serait de compenser la moindre efficacitĂ© par une dose plus forte de vaccin. Il serait par exemple possible d'administrer aux personnes obĂšses trois injections au lieu de deux, ou avec des doses plus Ă©levĂ©es », suggĂšre Donna Ryan, spĂ©cialiste de l'obĂ©sitĂ© au Pennington Biomedical Research Center en Louisiane États-Unis. La stratĂ©gie vaccinale, qui prĂ©conise de vacciner en prioritĂ© les personnes Ă  risque, n'est peut-ĂȘtre pas non plus si pertinente que ça. Paradoxalement, il serait peut-ĂȘtre plus avantageux de vacciner d'abord les enfants, dont le systĂšme immunitaire rĂ©pond mieux aux vaccins », explique ainsi Alberto Giubilini, chercheur en bioĂ©thique Ă  l'universitĂ© d'Oxford. On pourrait aussi penser Ă  vacciner l'entourage des personnes obĂšses, afin qu'elles ne puissent pas leur transmettre la par ce que vous venez de lire ?

Pasde panique. Il est toujours possible d'y ajouter une personne mĂȘme une fois que le groupe est actif. Attention : seul le crĂ©ateur du groupe peut effectuer cette opĂ©ration. Si les invitĂ©s

Les gens sont tous hypocrites. Quand ils ne t’aiment pas, ils ne te le disent pas. Heureusement, pour arriver Ă  dĂ©celer la haine dans le regard de l’autre, il existe des signes qui ne trompent pas. Et grĂące Ă  nous, tu ne pourras plus passer Ă  cĂŽtĂ©. 1. Elle t'a dĂ©gagĂ© de Facebook Tu pourras mĂȘme plus espionner son mur. 2. Quand tu lui dis "bonjour" elle rĂ©pond "ta gueule" Et elle ne chantait pas Johnny Hallyday. 3. Elle a pris la derniĂšre frite dans ton assiette LA DERNIÈRE PUTAIN ! 4. Elle ne retire pas ses chaussures quand elle vient chez toi Alors que tu viens tout juste de faire le mĂ©nage. 5. Une fois, elle t'a marchĂ© sur le pied Et elle ne s’est mĂȘme pas excusĂ©e. 6. Elle t'envoie pas de messages pour ton anniversaire Alors que tu avais laissĂ© un gentil bon anniv » sur facebook. 7. Elle t'a dit qu'elle avait dĂ©mĂ©nagĂ© Ă  Shanghai Mais tu la croises tous les jours dans le mĂ©tro. 8. Elle te fait des compliments, mais elle n'a pas l'air sincĂšre De toute façon, Corinne te l’a dit, on ne peut pas lui faire confiance. 9. Elle t'a pas proposĂ© de bonbon quand elle a ouvert son paquet Et elle en a mangĂ© devant toi ! 10. Elle t'a dĂ©passĂ© avec le missile Ă  Mario Kart et a gagnĂ© la course Alors qu’elle est nulle en plus, pas foutue de conduire sans se prendre un mur. 11. Elle chante Lara Fabian Alors que tout le monde sait que tu es fan de CĂ©line Dion. 12. Elle a commandĂ© une pizza hawaĂŻenne De l’ananas sur une pizza, c’est pas humain. 13. Elle te parle alors que t'as pas envie Elle devrait comprendre qu’en ce moment tu es dans une mauvaise passe et que tu as besoin d’une pause dans ta vie sociale. 14. Elle t'a proposĂ© d'aller voir le dernier Xavier Dolan Les cheveux de Xavier, c’est la capillo-catastrophe. 15. Elle ne t'a pas dit que StĂ©phanie avait larguĂ© David pour Lucien Palomero Et tu Ă©tais le dernier au courant. 16. Elle t'a mis Ă  "connard" dans son rĂ©pertoire. Alors que toi, tu t’es contentĂ© de la mettre Ă  Gros Con » 17. Elle fait du bruit quand elle mange Elle mĂąche la bouche ouverte et elle te fait profiter de son merveilleux paysage digestif. 18. Elle achĂšte toujours de la noix de jambon quand tu viens prendre l'apĂ©ro chez elle Alors que toi, tu amĂšnes toujours des gĂąteaux apĂ©ro. 19. Elle te dit "j'ai apportĂ© le dessert" et ce sont des paniers de Yoplait C’EST PAS UN DESSERT BORDEL DE MERDE. 20. Elle fait trois bises Et elle laisse l’une de tes joues toute déçue d’en avoir eu qu’une alors que sa copine en a deux. C’est sĂ»r, cette personne ne t’aime pas. Fuis.

Lemonde avant et aprĂšs le coronavirus ne peut pas ĂȘtre le mĂȘme. Nous devons Ă©viter les erreurs commises au cours du XX e siĂšcle et au dĂ©but du XXI e siĂšcle en Une petite pensĂ©e Ă  Gary Coleman, dĂ©cĂ©dĂ© il y a peu, l'inoubliable petit Arnold de la sĂ©rie "Arnold et Willy", que j'ai suivi pendant des annĂ©es dans ma tendre enfance !!! Et pour mĂ©moire, les paroles archi connues du gĂ©nĂ©rique... allez ! Tout le monde chante en coeur !"Personne dans le monde Ne marche du mĂȘme pas Et mĂȘme si la Terre est ronde On ne se rencontre pas Les apparences et les prĂ©fĂ©rences Ont trop d'importance Acceptons les diffĂ©rences C'est vrai, faut de tout tu sais Faut de tout c'est vrai Faut de tout pour faire un monde Personne dans la vie ne choisit sa couleur L'important c'est d'Ă©couter son coeur Si celui qui te paraĂźt diffĂ©rent TrĂšs bien, c'est le sien Tu as le tien et j'ai le mien ! Alors donnons-nous la main Personne dans le monde Ne marche du mĂȘme pas Et mĂȘme si la Terre est ronde On ne se rencontre pas Les apparences et les prĂ©fĂ©rences Ont trop d'importance Acceptons les diffĂ©rences C'est vrai, faut de tout tu sais Faut de tout c'est vrai Faut de tout pour faire un monde Ce qui compte dans la vie c'est le bonheur Chacun de nous le trouve Ă  son heure Tu veux le partager Alors c'est gagnĂ© N'attends pas demain Ici tout va pour le mieux On pourra tous ĂȘtre heureux"
Dansce cas-lĂ , ne luttez pas ; on ne peut obliger personne Ă  nous aimer. Pleurez, vivez pleinement votre rage, mais Ă©loignez-vous dans la discrĂ©tion de la personne qui ne vous aime plus. Faites-lui vos adieux. Les gens et les choses que vous aimez sont toujours lĂ , et mĂȘme si elles vous reviennent Ă  l’esprit, peu Ă  peu, les images se dissiperont, en mĂȘme
l'essentiel VĂ©ritable descente aux enfers pour un Italien ĂągĂ© de 34 ans. L'homme a contractĂ© simultanĂ©ment le Covid-19, la variole du singe et le VIH. Une premiĂšre pour les scientifiques. Terrible nouvelle pour cet homme italien. ÂgĂ© de 36 ans, il a contractĂ© le Covid-19, la variole du singe et le VIH au mĂȘme moment. Un cas unique pour les scientifiques, rapporte le mĂ©dia Futura Sciences. En Espagne durant cinq jours au mois de juin, il ressent des symptĂŽmes du Covid quelques jours aprĂšs son retour en Italie fiĂšvre, fatigue, toux... Son test de dĂ©pistage ressort positif, mais au mĂȘme moment son Ă©tat se dĂ©grade. Des cloques apparaissent sur sa peau, symptĂŽmes d'une infection Ă  la variole du singe. Il suit dĂ©sormais une trithĂ©rapie contre le VIH HospitalisĂ© Ă  cause de terribles douleurs et testĂ© positif Ă  la variole du singe, l'homme explique alors Ă  l'Ă©quipe mĂ©dicale avoir eu des rapports sexuels non protĂ©gĂ©s avec un autre homme lorsqu'il Ă©tait en Espagne. Par prĂ©caution, les mĂ©decins rĂ©alisent un dĂ©pistage pour les IST. Les analyses confirment une infection au VIH. Le taux du virus confirme Ă©galement que l'infection est toute rĂ©cente. La relation sexuelle semblerait donc ĂȘtre Ă  l'origine de la triple infection, d'aprĂšs les mĂ©decins. Le cas Ă©tant unique, personne n'est en capacitĂ© de dire si la santĂ© de l'homme sera durablement affectĂ©e par ces infections simultanĂ©es. Pour l'heure, il a pu sortir de l'hĂŽpital aprĂšs la disparition des symptĂŽmes du Covid-19 et de la variole du singe. Il suit dĂ©sormais une trithĂ©rapie contre le VIH.
Cest cette nuance qui fait qu’un Charlie Hebdo et un DieudonnĂ© ne sont pas mis dans le mĂȘme panier face aux tribunaux. Edouard Delruelle, l’ancien directeur du Centre pour l’égalitĂ©

Rien n’est plus mal connu que la gĂ©rontopsychiatrie, et la premiĂšre chose Ă  faire est d’essayer de se repĂ©rer. DÉMENCE ET FOLIE Ce n’est pas le lieu ici d’étudier la problĂ©matique gĂ©nĂ©rale de la dĂ©mence. Disons seulement que, rĂ©flexion faite, ce n’était pas si simple il y a des dĂ©mences dĂ©gĂ©nĂ©ratives, il y a des dĂ©mences qui correspondent Ă  d’indiscutables lĂ©sions cĂ©rĂ©brales, mais il y a des situations oĂč les choses sont beaucoup plus floues, et nous avons mĂȘme Ă©voquĂ© la possibilitĂ© de dĂ©mences psychogĂšnes, de suicide psychique, de dĂ©mence par dĂ©mission. Par ailleurs nous avons dit aussi que la dĂ©mence pose au fond deux problĂšmes celui de la souffrance du malade d’une part, celui de la menace que le dĂ©ficit cognitif fait peser ou non sur sa sĂ©curitĂ© et celle de son entourage d’autre part. Or la souffrance relĂšve d’une prise en charge de type psychothĂ©rapeutique, et cela renvoie Ă  la psychiatrie. Quant Ă  la sĂ©curitĂ© du malade et des personnes, elle est depuis toujours Ă  la base mĂȘme de la prise en charge des malades mentaux. Rappelons juste quelques donnĂ©es Pour les StoĂŻciens, la folie rĂ©sulte toujours d’un manque de contrĂŽle de l’esprit par lui-mĂȘme on est responsable de sa folie, et le sujet sain est celui qui observe les normes morales admises. Les insensĂ©s, les aliĂ©nĂ©s, les fous, sont ceux qui ne savent plus respecter les normes sociale le fou du roi est celui qui ne les respecte pas non plus. Lorsqu’on crĂ©e les institutions psychiatriques au XVIIe siĂšcle, c’est d’abord pour y entasser les asociaux, quelle que soit l’origine de cette asocialitĂ© mendiants, prostituĂ©es, malades mentaux. C’est ainsi que Sade sera enfermĂ© Ă  la Bastille, et de lĂ  transfĂ©rĂ© Ă  Charenton. La loi du 30 juin 1838 sur les internements psychiatriques avait Ă©tĂ© votĂ©e pour combler le vide créé par la suppression des lettres de cachet. Dans cette mĂȘme loi, on prĂ©cise que l’hospitalisation d’office est dĂ©cidĂ©e quand le malade est dangereux pour lui-mĂȘme ou la sĂ©curitĂ© des personnes ». Alors, qu’est-ce qui fait la diffĂ©rence entre le fou et le dĂ©ment ? Question d’autant plus cruciale que, par exemple, pendant longtemps le Code PĂ©nal de 1810 prĂ©cisait Il n’y a ni crime ni dĂ©lit, lorsque le prĂ©venu Ă©tait en Ă©tat de dĂ©mence au temps de l’action, ou lorsqu’il a Ă©tĂ© contraint par une force Ă  laquelle il n’a pu rĂ©sister. » [1]. Et comme la notion de dĂ©mence est au fil du temps devenue trĂšs restrictive, on a ainsi envoyĂ© Ă  la guillotine des malades mentaux notoires ils Ă©taient fous mais pas dĂ©ments... Le Nouveau Code PĂ©nal corrige cette anomalie N’est pas pĂ©nalement responsable la personne qui Ă©tait atteinte, au moment des faits, d’un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrĂŽle de ses actes. » [2]. On pourrait dire que dans la dĂ©mence il y a toujours un trouble de la mĂ©moire, alors que le malade mental n’a pas lieu d’en prĂ©senter un. Mais outre que le malade mental a volontiers des troubles mnĂ©siques, on a vu que dans la dĂ©mence fronto-temporale le trouble mnĂ©sique n’est pas au centre de la problĂ©matique. On pourrait dire aussi que le trouble du raisonnement et du jugement est nĂ©cessaire au diagnostic de dĂ©mence. Mais tout dĂ©lire suppose aussi un trouble du jugement... La maniĂšre la plus simple de se tirer d’affaire est de procĂ©der par Ă©limination, en crĂ©ant de toutes piĂšces la distinction qu’on veut discerner. Par dĂ©finition, le dĂ©ment n’est pas un malade mental. Autrement dit son trouble intellectuel ne s’explique pas par une pathologie psychiatrique telle qu’un Ă©tat nĂ©vrotique, une psychose ou une schizophrĂ©nie. Il ne s’explique pas non plus par un dĂ©ficit intellectuel constituĂ© dans l’enfance. Une fois qu’on a acceptĂ© ce qu’un tel clivage peut avoir d’artificiel, on peut commencer Ă  distinguer des tableaux cliniques Alzheimer, dĂ©mence sous-corticale, dĂ©mence fronto-temporale, dĂ©mence vasculaire qui stabilisent un peu le concept. Bref il n’est pas si simple de distinguer le dĂ©ment du fou, et les Ă©quipes soignantes sont souvent en difficultĂ© sur ce point. Parler de gĂ©rontopsychiatrie suppose qu’on explore trois directions. LE VIEILLISSEMENT PSYCHIATRIQUE Les malades mentaux vieillissent, et avec l’ñge les maladies mentales se transforment. On considĂšre habituellement que les pathologies mentales ont plutĂŽt tendance Ă  se stabiliser avec l’ñge. Ce n’est pas absolument certain, et il se peut que les observations soient un peu hĂątives. Les nĂ©vroses Il semble que la nĂ©vrose hystĂ©rique Ă©volue en effet vers une stabilisation, comme si l’hystĂ©rique Ă©tait bien forcĂ©e d’admettre la perte de ses illusions. On sait toutefois qu’elle trouve parfois une issue dans le suicide. La nĂ©vrose phobique, la nĂ©vrose d’angoisse ont tendance Ă©galement Ă  s’attĂ©nuer, mais cela se fait probablement au prix d’une chronicisation de l’angoisse. Cette chronicisation est d’autant plus difficile Ă  apprĂ©cier et Ă  gĂ©rer que les tranquillisants sont des molĂ©cules particuliĂšrement dangereuses chez le sujet ĂągĂ©. De ce fait il est probable que l’angoisse est sous-traitĂ©e chez le patient ĂągĂ©. Quant Ă  la nĂ©vrose obsessionnelle, c’est une grande pourvoyeuse de dĂ©pressions. C’est en fait le cas de toutes les nĂ©vroses. Les psychoses On a surtout Ă©tudiĂ© le dĂ©lire paranoĂŻaque. Il semble avoir tendance Ă  s’amĂ©liorer avec le temps. Mais il faut ici distinguer le dĂ©lire paranoĂŻaque, qui s’attĂ©nue, et la personnalitĂ© paranoĂŻaque, qui ne se modifie guĂšre ; ces personnalitĂ©s pathologiques, difficiles Ă  gĂ©rer, constituent une lourde charge en maison de retraite. La psychose maniaco-dĂ©pressive semble moins influencĂ©e par le vieillissement, ce qui peut poser problĂšme compte tenu notamment des problĂšmes de tolĂ©rance posĂ©s par le lithium. La dĂ©pression enfin demeure un problĂšme Ă  part entiĂšre. MĂȘme si on ne parle ici que de la dĂ©pression mĂ©lancolique, la plus grave, on sait qu’elle est sous-diagnostiquĂ©e chez le sujet ĂągĂ©, et que le traitement en est plus difficile. La schizophrĂ©nie Les schizophrĂšnes vieillissent assez mal suicides, toxicomanies, effets secondaires des neuroleptiques, pathologies infectieuses et endocriniennes. Ceux qui arrivent Ă  un Ăąge avancĂ© voient en principe leurs symptĂŽmes s’amĂ©liorer ; il reste le plus souvent une indiffĂ©rence, une incapacitĂ© Ă  dĂ©cider, un maniĂ©risme, des stĂ©rĂ©otypies. Par contre les troubles cognitifs qui existaient dĂ©jĂ  chez le malade jeune ont tendance Ă  s’aggraver. La dĂ©tĂ©rioration Mais toutes ces situations ont tendance Ă  Ă©voluer vers une dĂ©tĂ©rioration intellectuelle tout se passe comme si, Ă  force de penser des choses erronĂ©es, le malade finissait par ne plus savoir penser. C’est la dĂ©mence vĂ©sanique des anciens auteurs. La difficultĂ© est ici de porter le diagnostic Ă  bon escient comme on l’a dĂ©jĂ  dit, la dĂ©mence la plus frĂ©quente, y compris chez le malade mental, reste la dĂ©mence de type Alzheimer. L’hypochondrie L’hypochondrie est constituĂ©e par la conviction dĂ©raisonnable, voire dĂ©lirante, d’ĂȘtre atteint d’une lĂ©sion organique imaginaire. Cette conviction engendre des symptĂŽmes, souvent sous forme de douleur. Des exemples classiques sont la glossodynie, dans laquelle le patient se considĂšre comme atteint d’une lĂ©sion de la langue, mais aussi la proctalgie, dans laquelle le patient se plaint de douleurs anales pour lesquelles on ne retrouve aucun substrat organique. Il n’est pas facile d’expliquer la diffĂ©rence entre hypochondrie, hystĂ©rie et somatisations ; cette diffĂ©rence ne se fait qu’en examinant la personnalitĂ© du malade, le symptĂŽme n’occupant pas la mĂȘme fonction dans chaque cas. Toujours est-il que si l’hypochondrie est trĂšs rĂ©pandue, elle n’en constitue pas moins un piĂšge redoutable en gĂ©riatrie les signes et symptĂŽmes des maladies sont souvent discrets, voire dĂ©routants, et l’erreur de diagnostic doit ĂȘtre une obsession. L’hypochondrie tend Ă  se stabiliser avec l’ñge on observe souvent des patients qui se croient atteints depuis des annĂ©es d’une pathologie, souvent digestive, et qui en tirent des consĂ©quences notamment diĂ©tĂ©tiques plus ou moins fantaisistes. Ces croyances sont trĂšs souvent assises sur des conceptions mĂ©dicales anciennes, fausses, mais qui faisaient l’objet d’un consensus culturel Ă  l’époque il suffit de considĂ©rer le nombre de cholĂ©cystectomies, ou d’hystĂ©rectomies, qui au temps de leur jeunesse ont Ă©tĂ© pratiquĂ©es sur les patientes ĂągĂ©es. LES MALADIES PSYCHIATRIQUES AU STADE TARDIF Avec l’ñge, on voit apparaĂźtre des pathologies particuliĂšres. Elle sont difficiles Ă  classifier, d’une part parce que leur mĂ©canisme n’est pas trĂšs bien connu, d’autre part parce que la gĂ©nĂ©ralisation par la psychiatrie amĂ©ricaine du DSM IV a fait Ă©clater les classifications qui avaient cours en Europe, ce qui est cause d’un dĂ©sordre important dans les conceptions qu’on se faisait jusque lĂ  de ces pathologies. Provisoirement nous proposons d’en rester Ă  la vieille classification française, et d’aborder la question en partant des problĂ©matiques pratiques. La question des hallucinations Les hallucinations sont frĂ©quentes chez le sujet ĂągĂ©. La reprise de quelques dĂ©finitions permettra sans doute d’y voir un peu plus clair. L’hallucination C’est le fait pour un patient de percevoir des messages sensoriels qui ne correspondent pas Ă  une rĂ©alitĂ© je regarde ma pelouse et je vois un dragon, alors qu’il n’y a rien. L’hallucination peut ĂȘtre Visuelle c’est le cas des Ă©lĂ©phants roses. Auditive Jeanne d’Arc. Mais chez le sujet ĂągĂ©, elles sont souvent Olfactives c’est la cacosmie du vieillard, qui perçoit indĂ»ment des odeurs dĂ©sagrĂ©ables. CĂ©nesthĂ©siques impression de frĂŽlements, de touchers. Voire gustatives. L’hallucination doit ĂȘtre distinguĂ©e de l’illusion, qui a, elle, un support objectif je regarde ma pelouse, il y a un arbre et sa forme me fait croire que c’est un dragon. Plus simplement un bĂąton plongĂ© dans l’eau apparaĂźt brisĂ© ; une acouphĂšne peut ressembler Ă  une chanson. Naturellement la frontiĂšre entre hallucination et illusion est floue une personne victime de nombreuses illusions sera plus facilement sujette Ă  des hallucinations, et rĂ©ciproquement. Le dĂ©lire C’est le fait pour un sujet d’interprĂ©ter incorrectement une perception sensorielle exacte je regarde ma pelouse, je vois un arbre et j’en dĂ©duis que cet arbre est un espion qui a Ă©tĂ© placĂ© lĂ  par un dragon. La xĂ©nophobie est un processus dĂ©lirant. Ce dernier exemple n’est pas qu’une plaisanterie la grosse difficultĂ© conceptuelle est de faire la part de l’erreur et celle du dĂ©lire la foi religieuse est-elle un dĂ©lire ? On distingue donc le dĂ©lire de l’hallucination en se demandant quelle est la perception qui a engendrĂ© le discours erronĂ©. Cette perception a pu ĂȘtre Absente c’était une hallucination ; naturellement une hallucination peut ĂȘtre interprĂ©tĂ©e de maniĂšre dĂ©lirante. Mal enregistrĂ©e il y a eu une illusion. Mal interprĂ©tĂ©e il y a un dĂ©lire. Mais un malade qui Ă©prouve des hallucinations est tout de mĂȘme bien obligĂ© de leur trouver une signification ; c’est pourquoi l’hallucination conduit souvent au dĂ©lire. La dĂ©sorientation C’est uniquement le fait de ne pouvoir se repĂ©rer dans le temps ou dans l’espace. A noter que l’espace ne change que si je le veux, alors que je ne peux empĂȘcher le temps de changer. Il s’ensuit que la dĂ©sorientation temporelle est plus frĂ©quente et moins grave que la dĂ©sorientation spatiale. La confusion C’est un syndrome tĂ©moignant d’un mauvais fonctionnement global du cerveau. En gĂ©nĂ©ral elle comporte agitation, inversion du rythme veille-sommeil, dĂ©sorientation, hallucinations et dĂ©lire. On a souvent la chance d’observer un critĂšre essentiel, la perplexitĂ© anxieuse le sujet va mal et il le sait. Elle tĂ©moigne le plus souvent d’un processus organique FiĂšvre. DĂ©shydratation. FĂ©calome, rĂ©tention urinaire. Affections intracrĂąniennes. Troubles hĂ©modynamiques. Intoxications mĂ©dicamenteuses. Les deux exemples les plus classiques de confusion sont la fiĂšvre l’enfant qui a de la fiĂšvre ne dĂ©lire » pas il est confus et le delirium tremens. Autant dire que le fait de prononcer le mot de confusion sans dĂ©clencher une batterie d’examens mĂ©dicaux et une faute grave. Cela dit sans mĂ©connaĂźtre l’existence de confusions psychogĂšnes, sans mĂ©connaĂźtre non plus le fait que la confusion mentale est extrĂȘmement frĂ©quente chez le dĂ©ment dans prĂšs de 50% des cas le sujet ĂągĂ© qui fait un Ă©pisode confusionnel post-opĂ©ratoire par exemple va prĂ©senter une dĂ©mence dans les mois qui suivent. Ce n’est pas l’intervention qui a provoquĂ© la dĂ©mence, c’est la dĂ©mence dĂ©butante qui a favorisĂ© la confusion. La personne ĂągĂ©e est souvent victime d’hallucinations. Elle y est prĂ©disposĂ©e du fait du vieillissement sensoriel les pathologies de la vision perturbent la perception des images, les acouphĂšnes sont frĂ©quentes ; mais le plus spectaculaire est sans doute le vieillissement olfactif, grand pourvoyeur de perceptions aberrantes, le plus souvent dĂ©sagrĂ©ables. Face Ă  un patient qui se plaint de ce genre de trouble il faut appliquer une mĂ©thode prĂ©cise, qui vaut pour toute hallucination VĂ©rifier qu’il n’y a pas une explication naturelle la sinusite chronique est une cause frĂ©quente de mauvaises odeurs. Se demander si le malade adhĂšre Ă  son hallucination le malade qui dit Il me semble sentir une odeur d’égout » n’est pas victime du mĂȘme phĂ©nomĂšne que celui qui dit Je sens une odeur d’égout ». Se demander si le malade sent dĂ©sagrĂ©ablement une odeur qui existe mais est peu intense ou peu dĂ©sagrĂ©able c’est la cacosmie du vieillard, qui perçoit indĂ»ment des odeurs dĂ©sagrĂ©ables, ou s’il sent une odeur lĂ  oĂč il n’y a absolument rien c’est alors une hallucination vraie. Une source frĂ©quente d’hallucinations est la dĂ©saffĂ©rentation sensorielle la baisse de l’acuitĂ© visuelle engendre facilement des hallucinations, survenant prĂ©fĂ©rentiellement le soir, souvent trĂšs prĂ©cises, toujours uniquement visuelles, en gĂ©nĂ©ral bien critiquĂ©es par le patient. C’est le syndrome de Charles Bonnet, qui a des Ă©quivalents dans les autres systĂšmes sensoriels ; de mĂȘme l’isolement, la perte de la vie sociale, peuvent entraĂźner des Ă©tats hallucinatoires ; ces troubles sont de bon pronostic, et il ne faut pas les traiter d’ailleurs on n’a pas Ă  traiter les hallucinations, sauf si elles gĂȘnent le patient. On a vu que certaines maladies cĂ©rĂ©brales, et notamment la maladie de Parkinson, s’accompagnent volontiers d’hallucinations ; il faut seulement se rappeler dans ce cas que le traitement peut aussi ĂȘtre en cause. Dans les dĂ©mences, et notamment l’Alzheimer, la perte de la capacitĂ© Ă  analyser le rĂ©el favorise les Ă©tats hallucinatoires. Une forme commune d’hallucination chez le sujet ĂągĂ© est le dĂ©lire des cloisons » le patient Ă©prouve la sensation que des images visuelles colorĂ©es souvent assimilĂ©es Ă  des flammes traverse les murs ; ailleurs c’est un son, une odeur, qui viennent de la piĂšce voisine. C’est un Ă©tat hallucinatoire, et si on parle de dĂ©lire » c’est simplement parce que l’idĂ©e que le phĂ©nomĂšne pourrait traverser les cloisons est dĂ©jĂ  une erreur d’interprĂ©tation on a dit plus haut que l’hallucination entraĂźne facilement un dĂ©lire dĂšs qu’il s’agit de l’expliquer. La psychose hallucinatoire chronique Il s’agit d’une pathologie relativement rare, qui survient prĂ©fĂ©rentiellement chez la femme de 65-75 ans, et qui est composĂ© uniquement d’hallucinations, le plus souvent olfactives, gustatives ou cĂ©nesthĂ©siques. En dehors de ces manifestations hallucinatoires la patiente semble avoir des fonctions supĂ©rieures normales. Cependant, aprĂšs une durĂ©e plus ou moins longue, le caractĂšre Ă©trange des sensations incite la patiente Ă  rechercher des interprĂ©tations qui mĂšnent trĂšs vite au dĂ©lire. Actuellement on tend Ă  considĂ©rer la psychose hallucinatoire chronique comme une forme tardive de schizophrĂ©nie mais cette Ă©volution intellectuelle se fait sous l’influence du DSM IV, problĂšme dont on a parlĂ© plus haut. La question des dĂ©lires Le dĂ©lire est frĂ©quent chez le sujet ĂągĂ©. D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale on doit prendre vis-Ă -vis des dĂ©lires les mĂȘmes prĂ©cautions que vis-Ă -vis des hallucinations. VĂ©rifier qu’il n’y a pas une explication naturelle un sujet ĂągĂ© qui se prĂ©tend volĂ© est volĂ© jusqu’à preuve du contraire. Se demander si le malade adhĂšre Ă  son dĂ©lire une chose est de se demander si on a Ă©tĂ© volĂ©, une autre est de l’affirmer. Se demander si le malade a cru ĂȘtre volĂ© parce qu’il n’a pas compris qu’il devait de l’argent, ou s’il le croit alors qu’il ne s’est rien passĂ© du tout une chose est de n’avoir pas compris, une autre est d’avoir inventĂ©. Mais tout cela dit le dĂ©lire est frĂ©quent. Citons d’abord quelques situations. La confusion mentale s’accompagne le plus souvent de dĂ©lire, en raison de l’abolition du sens critique. De mĂȘme les dĂ©mences, pour les mĂȘmes raisons ; le plus classique est le dĂ©lire de vol, qui est trĂšs Ă©vocateur de l’Alzheimer le malade voit son porte-monnaie, et il se souvient qu’il doit le mettre en lieu sĂ»r. Il imagine donc une cachette, car il en a les moyens intellectuels. Puis il oublie cette cachette. Mais il n’oublie pas qu’il avait de l’argent, et qu’il devait le mettre en lieu sĂ»r ; la conclusion qui s’impose Ă  lui est qu’il avait raison de se mĂ©fier. Mais aussi les Ă©tats hallucinatoires, comme on l’a expliquĂ©. La maladie maniaque prĂ©sente une forme dĂ©lirante. Mais aussi la dĂ©pression rappelons que la mĂ©lancolie est en soi un dĂ©lire, dans lequel le malade croit qu’il est mauvais, indigne, dangereux c’est une autre forme de mĂ©galomanie le mĂ©galomane se croit l’homme le meilleur du monde, le mĂ©lancolique se croit le plus mauvais ; les choses vont parfois jusqu’au syndrome de Cotard, dans lequel le patient croit avoir perdu un organe, une partie de son corps, quand il ne va pas jusqu’à dire Je suis mort », ou Je n’existe pas ». Rappelons que la mĂ©lancolie dĂ©lirante reste l’une des rares indications impĂ©ratives de la sismothĂ©rapie. Sans parler de la difficultĂ© qu’il y a Ă  distinguer le dĂ©lire de l’erreur. Il y a aussi quelques formes de dĂ©lire qui sont particuliĂšres au sujet ĂągĂ©. Par exemple on rencontre Des dĂ©lires Ă  deux un couple assez souvent deux soeurs, souffrant d’isolement, dont l’un des membres prĂ©sente une psychose chronique tandis que l’autre, atteint d’un dĂ©ficit intellectuel ou d’un handicap physique, adhĂšre au dĂ©lire du premier. Des dĂ©lires en secteur il existe un domaine, trĂšs limitĂ©, dans lequel le patient est atteint de dĂ©lire persĂ©cutif, Ă©rotique, mystique..., alors que dans le reste de sa pensĂ©e tout est normal. Ces dĂ©lires sont trĂšs dĂ©routants car on a toujours du mal Ă  comprendre comment la mĂȘme personne peut penser aussi bien dans tous les domaines sauf un, et aussi mal dans celui qui reste. Des dĂ©lires de relation, frĂ©quents notamment chez le dĂ©ment citons le syndrome de Capgras, dans lequel le patient a la conviction que son conjoint a Ă©tĂ© remplacĂ© par un sosie, ou le "dĂ©lire du compagnon tardif", dans lequel un soignant, voire un objet familier est investi comme un ami du passĂ©. Des dĂ©lires plus en rapport avec un trouble sensoriel c’est le cas du syndrome d’Ekböm, dĂ©lire dans lequel le patient se croit envahi de parasites, le plus souvent cutanĂ©s ; le prurit sĂ©nile, liĂ© Ă  la sĂ©cheresse cutanĂ©e, est un facteur favorisant Ă©vident. LA CRISE DU VIEILLIR Mais il faut encore considĂ©rer un autre point. c’est que le vieillissement est une pĂ©riode de crise, de deuils, Ă  laquelle il faut s’adapter. De ce fait, non seulement elle est particuliĂšrement propice Ă  la rĂ©activation de pathologies psychiatriques anciennes ou stabilisĂ©es, non seulement elle est favorable Ă  l’éclosion de pathologies nouvelles, mais encore on peut se demander si certains comportements que nous considĂ©rons comme pathologiques ne jouent pas en rĂ©alitĂ© un rĂŽle protecteur. Des auteurs comme Ploton ou Maisondieu montrent que la dĂ©mence peut ĂȘtre le dernier refuge d’un patient qui ne peut assumer son vieillissement ou sa mise Ă  l’écart ; il en va de mĂȘme, on le sait, de nombreux dĂ©lires, et on a pu dire que la dĂ©pression correspondait parfois Ă  un comportement de survie analogue Ă  une hibernation psychique. Mais alors, sommes-nous bien sĂ»rs de savoir distinguer le normal du pathologique ? Nous avions dĂ©jĂ  notĂ© qu’il n’est pas si simple d’expliquer en quoi le dĂ©lire se distingue de l’erreur. On peut aller plus loin au dĂ©but du XXe siĂšcle SĂ©rieux et Capgras dĂ©crivaient la folie raisonnante, sans hallucinations, et donnaient comme exemples Rousseau et Strindberg tous deux atteints de dĂ©lire de persĂ©cution. On voit Ă  quel point il peut ĂȘtre difficile de discriminer folie et luciditĂ© parfaite... Dans un domaine lĂ©gĂšrement diffĂ©rent, il est possible de considĂ©rer saint Paul comme un grand mystique, mais aussi comme un modĂšle de paranoĂŻaque. Qu’est-ce qui, chez nos personnes ĂągĂ©es, est normal ? Qu’est-ce qui est pathologique ? Trois exemples suffiront Ă  donner une idĂ©e de l’étendue du problĂšme. Il est important de noter la grande frĂ©quence de l’alcoolisme chez le sujet ĂągĂ©. Cet alcoolisme, souvent mĂ©connu, a toutes les apparences d’une rĂ©action au vieillissement. Il faut certes le considĂ©rer comme un alcoolisme A cause du risque de chutes. A cause du risque de complications somatiques l’augmentation de la longĂ©vitĂ© fait que le sujet ĂągĂ© aura le temps de les dĂ©velopper. Mais de toute maniĂšre parce que le refuge dans l’alcool signifie une grande souffrance. Tout le monde a Ă©tĂ© au moins une fois confrontĂ© Ă  ce problĂšme des personnes ĂągĂ©es qui ont pris l’habitude de vivre dans des conditions d’hygiĂšne parfois inquiĂ©tantes, au milieu d’une accumulation d’objets, voire d’immondices, et qui sont un jour envoyĂ©s aux Urgences les pompiers, Ă  l’appel du maire ou des voisins. On regroupe maintenant ces situations sous l’appellation de syndrome de DiogĂšne. La question qui se pose est de savoir si ces personnes, qui ne demandent rien, doivent ou non ĂȘtre secourues, de quel droit on se mĂȘle de leurs affaires, alors qu’elles semblent ĂȘtre parfaitement lucides et capables de choisir pour elles-mĂȘmes ; dans ces conditions leur mode de vie relĂšve de leur libertĂ© ; le seul problĂšme est qu’elles dĂ©rangent l’ordre social et on retrouve lĂ  la vieille problĂ©matique du fou est-il dĂ©rangĂ© ou dĂ©rangeant ?. De rĂ©centes Ă©tudes semblent Ă©tablir qu’en rĂ©alitĂ© ces sujets prĂ©sentent des troubles de la pensĂ©e et que ce sont des dĂ©ments. C’est trĂšs possible. On ne peut tout de mĂȘme s’empĂȘcher de penser que ces Ă©tudes tombent Ă  point nommĂ© pour nous tirer d’embarras rien ne nous serait plus difficile que d’admettre qu’on peut vivre hors de nos normes tout en Ă©tant sain d’esprit. On est tout de mĂȘme fortement tentĂ© de se demander si on n’a pas procĂ©dĂ© en trois temps On a tout d’abord dĂ©cidĂ© que ces sujets Ă©taient malades. Puis on a nommĂ© la maladie. Il ne restait plus qu’à savoir en quoi ils Ă©taient malades. Les moyens pour ce faire ne nous manquent pas. Un exemple peut-ĂȘtre plus pur encore est fourni par le syndrome du pĂ©lican. Dans tous les parcs animaliers il y a un Ă©tang. Et dans cet Ă©tang, il y a des pĂ©licans. Si on observe ces pĂ©licans, on voit qu’il y a divers groupes de pĂ©licans. Il y a les pĂ©licans qui se parlent, le pĂ©lican qui dĂ©ambule, les pĂ©licans qui se disputent... et il y a le pĂ©lican qui crie. Il y a toujours un pĂ©lican qui crie, et il n’y en a jamais deux. De mĂȘme, dans la grande salle de la maison de retraite, il y a les rĂ©sidents qui se parlent, le rĂ©sident qui dĂ©ambule, les rĂ©sidents qui se disputent... et il y a le rĂ©sident qui crie. Il y a trĂšs souvent un rĂ©sident qui crie, et il n’y en a presque jamais deux. On peut tirer de cette observation deux conclusions. D’abord, pourquoi en va-t-il ainsi ? L’audition est le sens qui sert Ă  se dĂ©fendre ceci est liĂ© au fait qu’on ne voit que ce qui passe dans notre champ visuel, alors qu’on peut entendre ce qui se passe derriĂšre nous. Le pĂ©lican qui crie est le guetteur. Sa fonction est de rassurer le groupe en lui signifiant qu’il est en sĂ©curitĂ© il crie pour montrer qu’on n’a pas besoin d’écouter. La preuve en est que quand il se tait c’est le signe qu’il faut Ă©couter ; et alors tous les oiseaux s’envolent. La vocalisation a une fonction rassurante. C’est vrai chez les pĂ©licans, c’est vrai chez les bĂ©bĂ©s, c’est vrai dans les maisons de retraite. C’est pourquoi il est illusoire de chercher Ă  faire taire un rĂ©sident qui crie d’abord parce qu’il n’est pas conscient de crier ; ensuite parce que s’il s’arrĂȘtait de crier il y a toute chance pour qu’un autre rĂ©sident prenne sa place. Mais l’autre conclusion est encore plus implacable pourquoi les rĂ©sidents d’une maison de retraite retrouvent-ils ainsi des comportements animaux ? Il se pourrait que ce soit parce que ce qu’elles vivent n’est pas trĂšs humain. Tous les troubles ne sont pas psychiatriques.

Pourvoter par procuration, il faut connaĂźtre une personne habitant la mĂȘme ville certaine de se dĂ©placer ce jour lĂ . Et qui plus est, une personne de confiance qui respectera votre choix. Pas

Il y a des personnes qui ne se rendent pas compte que la terre tourne autour du soleil, et non pas autour d’ ne comprennent pas que la vie ne tourne pas autour d’eux, qu’elles ne sont pas le nombril du monde, ni des personnes qui les pour cela qu’elles s’auto-proclament infaillibles, gĂ©nĂ©rant, par leurs comportements, un Ă©norme rejet maintiennent des comportements Ă©gocentriques et remplissent nos oreilles de messages et de comportements qui rĂ©clament de l’attention Ă  corps et Ă  cris. Des cris qui ensorcellent, qui saturent et qui Ă©puisent les face Ă  une personne aux comportements Ă©gocentriques est trĂšs crispant pour de multiples raisons. Analysons certaines d’entre elles..L’égocentrisme, le culte excessif du moiSe croire le centre du monde et se sentir plus important que les autres est nĂ©faste pour une bonne Ă©volution de nos relations ne nous plaĂźt pas que quelqu’un essaie d’imposer ses opinions, ses pensĂ©es et ses fait, une personne qui ne se croit pas meilleure que les autres essaie d’arriver Ă  un Ă©quilibre qui garantit le bien ne sait pas que le bien-ĂȘtre des autres est aussi indispensable que son bien-ĂȘtre propre. Les personnes Ă©gocentriques sont sĂ»res qu’elles sont spĂ©ciales, et mĂȘme que leur personnalitĂ© est enchanteresse quand quelque chose ne prend pas le chemin qu’elles souhaitent, elles se transforment en ogres, en despotes et imposent leurs lois, mĂȘme si pour cela il faut profiter et manipuler les gens qui les qu’elles se protĂšgent derriĂšre la phrase “j’ai beaucoup de caractĂšre, moi” ou une autre variante du style “je n’ai pas de dĂ©fauts, c’est seulement que ça ne me convient pas”. Vous pensez sĂ»rement Ă  des personnes de votre entourage qui vous ont dĂ©jĂ  dit cela un font leur propre promotion et se considĂšrent infaillibles, singuliĂšres et supĂ©rieures aux a comme consĂ©quence des problĂšmes au moment de se faire des amis et de conserver des amitiĂ©s, car personne n’aime avoir Ă  ses cĂŽtĂ©s des personnes qui ne pensent qu’à l’auto-estime n’a rien Ă  voir avec l’égocentrisme l’auto-estime est une aspiration saine et tolĂ©rante, l’égocentrisme est une aspiration vide, sans rĂ©flexion, excessive et intolĂ©rante. Les personnes Ă©gocentriques ne s’aiment pas vraiment mais utilisent une protection elles clament leur excĂšs d’amour propre comme pour transformer la rĂ©alitĂ© d’une auto-estime nĂ©gative, qu’elles cachent la raison pour laquelle elles ont besoin de se sentir aussi adulĂ©es qu’ marchais avec mon pĂšre quand il s’est arrĂȘtĂ© Ă  un virage et aprĂšs un petit silence, il m’a demandĂ© -En plus des chants des oiseaux, tu entends quelque chose de plus ? J’ai rendu l’oreille et aprĂšs quelques secondes, je lui ai rĂ©pondu -J’entends le bruit d’une ça -a dit mon pĂšre-. C’est une route sais-tu que c’est une route vide puisque nous ne la voyons pas ? -ai-je demandĂ© Ă  mon est trĂšs facile de savoir quand une route est vide, par le bruit qu’elle provoque. Plus une route est vide, plus le bruit qu’elle fait est grand -m’a-t-il suis devenu adulte et jusqu’à aujourd’hui, quand je vois une personne trop parler, interrompant la conversation de tous, Ă©tant inopportune ou violente, se vanter de ce qu’elle a, se montrant toute-puissante et mĂ©prisant les autres, j’ai l’impression d’entendre la voix de mon pĂšre me disant “Plus la route est vide, plus le bruit qu’elle fait est grand”.Types d’égocentrisme et types de routes videsNous pouvons trouver plusieurs personnes imbues d’elles-mĂȘme dans l’histoire et la culture populaire Les stars Ce sont des personnes qui recherchent de l’admiration et de la contemplation. NĂ©ron Ce sont des personnes qui aspirent Ă  dominer et Ă  soumettre, c’est-Ă -dire Ă  marquer leur pouvoir Ă  travers le dicton “n’aie jamais confiance en personne”. Cendrillon Ce sont les victimes qui font de leur “souffrance continue” une arme pour obtenir l’attention des autres. Le solitaire ou la tortue Ces personnes font de leur monde un lieu de reproches et de critiques, croyant que personne ne mĂ©rite mieux qu’elles. Mais il existe autant de types d’égocentrisme que de personnes qui en sont tout, il est essentiel d’en prendre conscience et de stopper les comportements nĂ©gatifs, car ils font beaucoup de dommages sur les autres et sur c’est de ne pas accorder de crĂ©dit ou d’attention aux comportements Ă©goĂŻstes car si on le fait, on ne fera qu’aller dans le sens de ces personnes et nous leur donnerons vous le savez, le centre de l’univers est un endroit qui n’est fait pour personne. Parcontre, je suis la personne qui marche le plus vite dans le mĂ©tro de TOUT le pays. Je ne supporte pas de perdre mon temps dans ces sous-terrains pestilentiels et je maudis intĂ©rieurement les ï»żJ’étais cool chez moi, j’mattais la tĂ©lĂ©, clip de M. Key Dieu, j’voudrais ĂȘtre Ă  sa place et faire c’qu’il fait M’en veux tu d’connaitre mon paradis en enfer ? J’lĂšve la tĂȘte, marche, fier, mon rĂȘve s’avĂšre salutaire Les grandes douleurs sont muettes, j’pense Ă  penser Le salaire du bien, le connais-tu comme je connais ? La tox qu’a besoin d’sa dose de rap comme de bon crack La mĂ©lodie m’inspire, apaisante bouffĂ©e de skunk Le temps veillant au mal, le mal veillant au choix de chacun Chacun est devenu ce qu’aucun convenu d’ĂȘtre demain Mes modĂšles, je les ai trouvĂ©s entre ces murs de bĂ©ton Pris en compte les coups foireux vices et formes d’extorsion La vie est belle comme l’argent, t’anime T’as fait sourire et t’as fait trahir J’porte le cuir comme les souvenirs Ma thĂšse la folie, serai-je une nouvelle incarnation du hip hop venu d’Orly ? Personne dans le monde ne marche du mĂȘme pas Et comme la terre est ronde, il faut que tu fasses des choix Sur les apparences et les rĂ©fĂ©rences Le temps d’un instant rĂ©flĂ©chir en consĂ©quence Tu m’as cru pauvre parce que mal pĂ©-sa, pas rasĂ©, posĂ© Ă  la citĂ© Mais moi je suis roi comme HailĂ© SĂ©llassiĂ© Sur mon banc, j’élabore plan, je vis dans mon univers Comme Malcom X, Camara Laye ou Martin Luther Y’a t’il flic pour sauver mes potes des flics de ma ville ? J ’ai trop de rimes, ma destinĂ©e comme calibre en main Ce monde est mien, vu qu’il est Ă  personne Demande Ă  mon microphone Il ouvre devant moi nouveau chemin OGB baffe sur tocard quand je rĂ©alise Banditisme Egalise, anticipe le succĂšs Pour que ces mots changent nos maux Et les maux de ceux qui Ă©coutent Les hommes, femmes, enfants qu’ont croisĂ©, qui croiseront nos routes Les keufs roulent sans ceinture, leur terrain de chasse est vaste Faits divers en masse, la masse contre la masse Laisse les hommes Ă  mes paragraphes, mon cƓur y croit aprĂšs tout Plus jamais tu n’m’auras vu en chien, victoire est en nous J’crois en Dieu, en moi, en ce fauchant sous ma ceinture En jalousie qui des soirs censure l’espoir du futur Personne dans le monde ne marche du mĂȘme pas Et comme la terre est ronde, il faut que tu fasses des choix Sur les apparences et les rĂ©fĂ©rences Le temps d’un instant rĂ©flĂ©chir en consĂ©quence J’suis jeune, indĂ©pendant, ambitieux et artiste lyrique Primant la cause musicale, qu’importe le teint du public Noir c’est noir Peu d’espoir, se plaindre est notre seule attitude Ma certitude la vie est chienne et non ma nĂ©gritude Ma plume forge me respecte m’apporte Ă©quilibre Donne Ă  l’homme intelligence, et ce dernier te fait un calibre J’ai l’cul pour m’asseoir, mais les marches du hall pour le prouver Le talent n’paye personne, seul les sacrifices payent Pour l’heure la razzia des mƓurs est plus qu’évidente Du fait qu’nos vies ont trop peu rĂ©pondu Ă  nos attentes Tu voudrais comprendre, mais y a t’il quelque chose Ă  saisir ? Quand de deux maux qui se font face, tu choisis le moins pire Les hommes sont comme le vent ils tournent avec le vent Maintenant les yeux sont braquĂ©s sur toi, que va tu faire grand ? Dieu t’as fait don, du don de choix de vie et de mort 365 fois l’an tu dealas pour Villa Manilla MĂ©fies-toi du jour qui s’lĂšve, approche la saison Depuis qu’ce monde est monde Ce foutu monde est ce que nous faisons
personnedans le monde ne marche du mĂȘme pas 21 Jun 2022

1/ Ce serait pourtant plus simple
 On a tous des moments oĂč l’on aimerait que les autres pensent comme nous
 C’est vrai, cela nous simplifierait bien la vie ! Plus besoin de se justifier auprĂšs d’un client, de son patron, d’un chef ou mĂȘme de son conjoint. Nous serions immĂ©diatement compris sans s’expliquer pendant des heures. VoilĂ  qui serait beaucoup plus confortable. La communication serait donc plus facile, plus rapide et plus claire ! Une douce uniformitĂ© baignerait tous nos rapports sociaux. Fini les sous-entendus et les filtres dĂ©formants. Place Ă  la nouvelle norme la mienne ! Et oui mais la vie est ainsi faite
 Et puis, en rĂ©flĂ©chissant un peu on comprend trĂšs vite que cette apparente simplification des relations est une impasse voir mĂȘme un boulevard pour un nouveau totalitarisme. Voyons cela d’un peu plus prĂšs. 2/ YucatĂĄn AmĂ©rique centrale, 1541. Dans ses rĂ©cits, le moine franciscain Toribio de Benavente fait la chronique des premiĂšres missions d’évangĂ©lisation au Mexique. Il raconte notamment une anecdote qui tient plutĂŽt de la farce le dĂ©barquement des premiers conquistadores, assoiffĂ©s de pillage et attirĂ©s par l’or des Mayas. En arrivant dans la province mexicaine qui porte depuis le nom de YucatĂĄn », ils interpellent la population locale qui, bien sĂ»r, ne parle pas le Castillan. Ces pillards veulent savoir oĂč ils viennent de poser le pied. DĂ©semparĂ©s, les Mayas leur rĂ©pliquent quelque chose qui sera interprĂ©tĂ© plus tard comme YucatĂĄn ! ». Selon Toribio de Benavente, la rĂ©ponse des autochtones ne faisait pas allusion Ă  un quelconque nom de lieu mais Ă  une incomprĂ©hension Nous ne vous comprenons pas ! 
 Certains historiens contestent cette origine du nom YucatĂĄn ». Il en existe une autre basĂ©e sur l’ariditĂ© du lieu mais qui est bien trop sĂ©rieuse et pragmatique pour ĂȘtre intĂ©ressante ! NĂ©anmoins, cette version de Toribio me semble symptomatique des diffĂ©rents engendrĂ©s par la communication. Elle illustre la formidable confiance de ces conquistadores persuadĂ©s d’ĂȘtre instantanĂ©ment compris oĂč qu’ils soient ! 3/ Sans Filtres ? Cette histoire mexicaine nous dĂ©voile en creux plusieurs des filtres qui nuisent Ă  notre communication la langue, la culture, l’éducation ou la religion. Il en existe finalement autant que d’humains. Comme pour les fractions en mathĂ©matiques, nous sommes parfois Ă  la recherche du plus petit dĂ©nominateur commun. Cette quĂȘte mĂšne invariablement Ă  la fragmentation, Ă  l’exclusion, Ă  la relĂ©gation ou Ă  la stigmatisation. Les exemples sont si nombreux et constants qu’ils deviendrait lĂ©nifiant d’en Ă©tablir la liste exhaustive
 Nous avons tous plus ou moins conscience de la puissance destructrice de nos filtres nĂ©gatifs. Ils nous empĂȘchent de jouir pleinement de la vie. Ces filtres sont notre aliĂ©nation quotidienne tout en nous rassurant aussi parfois. Ils sont comme une paire de lunettes teintĂ©es Ă  travers lesquelles nous serions les seuls Ă  pouvoir y voir clair. Nous interprĂ©tons en permanence d’une maniĂšre unique l’ensemble des Ă©vĂ©nements de notre vie. Cela engendre une complexitĂ© incroyable car nous ne partageons avec les autres que trĂšs rarement les rĂšgles de notre jeu personnel. A votre Ă©coute ! Toutes les sociĂ©tĂ©s sont fascinĂ©es par ces clivages permanents. Nos mĂ©dias en sont remplis. Finalement, avec cet Ă©tat d’esprit, tout est sujet Ă  dĂ©bat, Ă  controverse et Ă  divisions. Je ne fais malheureusement pas exception Ă  ce mouvement. Pourtant, j’ai trouvĂ© une autre voie qui m’aide Ă  faire un pas de cĂŽtĂ©. Non, pas la Voie du Tao, mĂȘme si mes nombreux voyages en Chine m’y ont sensibilisĂ©. Je veux plutĂŽt parler du mouvement des Forces » issues de nos Talents Naturels ! 4/ Lunettes roses Dans le livre StrenghtsQuest, Edward Anderson, un des pĂšres du test StrenghtsFinder, raconte une expĂ©rience intĂ©ressante. Pour prĂ©senter le test Ă  une cohorte d’étudiants rĂ©unis dans un amphi, il a eu une idĂ©e excellente. Il souhaitait marquer l’esprit des Ă©tudiants durablement afin qu’ils comprennent l’importance de connaitre les talents des autres AUTANT que les siens propres. Tout en faisant son exposĂ©, il passa dans les rangs et distribua Ă  chacun une paire de lunettes. Pas une vulgaire paire de lunette en plastique, non ! Des lunettes magiques qui permettaient de voir » les forces des autres
 Avec les Forces, on peut voir la vie en rose ! C’était sa mĂ©taphore pour pousser ces Ă©tudiants Ă  recadrer le regard qu’ils portaient sur leurs camarades. En tout, plus de 100 000 Ă©tudiants ont Ă©tĂ© accompagnĂ©s dans diffĂ©rents programmes par Gallup. Connaitre ses Talents permet de poser un regard positif sur soi-mĂȘme. Mais chaque Talent possĂšde aussi son cĂŽtĂ© obscur ». Par exemple le talent de Self-Assurance confiance en soir peut parfois ĂȘtre vu comme de l’arrogance dans certaines situations. Les expĂ©riences de Gallup montrent que par la connaissances des talents de chacun, les relations gagnent en respect et en comprĂ©hension mutuelle. On perçoit plus positivement des comportements qui nous irritaient avant. Les oppositions qui avaient tendance Ă  dĂ©gĂ©nĂ©rer en conflit par le passĂ© sont dorĂ©navant ressenties comme l’opportunitĂ© de trouver un terrain d’entente
 5/ La force des Forces ! Ce qui est vrai pour les Ă©tudiants accompagnĂ©s par Gallup l’est aussi pour les Ă©quipes salariĂ©es, les bĂ©nĂ©voles d’organisations non-gouvernementales et
 les couples ! Sophie et moi, nous tirons un bĂ©nĂ©fice au quotidien de ce test et des connaissances qu’ils nous apporte. Connaitre le thĂšme de son/sa partenaire et l’aider Ă  dĂ©velopper ses talents naturels permet de poser un nouveau regard sur lui/elle. Ce changement d’angle a des consĂ©quences puissantes dans l’amĂ©lioration des relations. Par exemple, mon premier thĂšme Achiever » rĂ©alisateur est un peu envahissant. Il me pousse Ă  rĂ©aliser CHAQUE JOUR des actions qui me portent vers mes buts. Je dis bien chaque jour. Vous pensez bien que vivre avec une personne qui a besoin viscĂ©ralement de travailler tous les jours, week-end et vacances compris n’est pas facile. Avant le test, je ne m’expliquais pas vraiment ce phĂ©nomĂšne. Au mieux, j’y voyais la marque de la Passion. Sophie quant Ă  elle, interprĂ©tait parfois cela comme une fuite, se demandant si j’étais vraiment heureux. Vous pouvez imaginer l’effet positif apportĂ© par la rĂ©vĂ©lation de nos thĂšmes ! Finalement nous y voyions plus clair tous les deux. De son cĂŽtĂ©, Sophie subit » un peu son premier thĂšme Responsability » responsable. Si vous cherchez quelqu’un qui se sentira investit d’une mission jusqu’à son dernier souffle d’énergie, vous venez de la trouver ! Ce thĂšme est trĂšs puissant et exigeant. Le fait d’en prendre conscience permet aussi d’essayer de le temporiser en favorisant le thĂšme suivant Learner » apprenante. Nous en discutons ensemble et cherchons des stratĂ©gies alternatives. Nous le dĂ©busquons aussi dans ses rĂ©actions. Du coup, on se permet d’en rigoler un peu pour lui ĂŽter une partie de la charge dramatique qu’il peut contenir ! 6/ Un outil de cohĂ©sion et de communication Vous comprenez maintenant la puissante rĂ©volution qu’une connaissance gĂ©nĂ©ralisĂ©e de nos talents naturels peut apporter Ă  tous les niveaux de la sociĂ©tĂ©. C’est le Grand Chantier que Don Clifton, Edward Anderson, Tom Rath, Jim Clifton et bien d’autres ont lancĂ© il y a Ă  peine 20 ans. Depuis, plus de 18 millions de personnes ont dĂ©jĂ  pris part Ă  ce mouvement. En France, nous n’en sommes qu’au balbutiement. Nous pouvons, chacun Ă  notre place, faire une part de ce changement. En prenant conscience de nos forces, nous renforçons la part d’humanitĂ© qui est en nous. Nous nous tournons vers les autres plus naturellement. Leurs rĂ©actions nous semblent plus familiĂšres et bienveillantes. Sans faire preuve d’angĂ©lisme, nous progressons ainsi vers un monde plus connectĂ© socialement. Finalement, je ne regrette pas que vous ne pensiez pas comme moi ! Ce serait tellement triste. Le dĂ©bat est le sel de la communication. Et je ne suis pas au rĂ©gime. Alors, si vous n’ĂȘtes pas d’accord avec moi, si vous trouvez que je suis complĂ©tement Ă  cĂŽtĂ© de la plaque, faites vos commentaires en dessous de cet article ! Que les Forces soient avec vous ! » Guillaume Le Penher

Ildisait de ses disciples : « Ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde » (Jean 17:16), c’est-Ă -dire que, contrairement aux hommes qui trouvaient leur vie dans ce systĂšme, eux n’en faisaient pas partie. Quiconque est ami de ce systĂšme est ennemi de Dieu. (Jacques 4:4). Le propre d’un tel systĂšme est de se gouverner soi-mĂȘme, sans aucune
Bonjour Ă  tous, Quatre heure du matin et me voilĂ  fraĂźchement inscrit avec le secret espoir de trouver des rĂ©ponses ou des dĂ©buts de solutions Ă  un mal ĂȘtre qui dure maintenant depuis 4 ans. ÂgĂ© de 29 ans aujourdhui, j'ai fait le choix, une fois mon BAC LittĂ©raire obtenu, de tout plaquer pour faire le tour du monde. Un choix due Ă  la nĂ©cessitĂ© pour moi de tout reprendre Ă  zĂ©ro aprĂšs une adolescence complexe abandon familial depuis la petite enfance, dĂ©cĂšs d'une personnes centrale Ă  mon univers et problĂšmes de drogues. Me voilĂ  donc fraĂźchement parti en 2006 pour l'Espagne, premiĂšre Ă©tape de mon pĂ©riple qui durera donc 7 ans, jusqu'en 2013. AprĂšs 7 ans passĂ©s autour du globe sans aucun retour en France, Ă  voir l'ensemble des 5 continents et Ă  vivre littĂ©ralement au jour le jour en enchaĂźnant les petits boulots, un besoin de me poser a commencĂ© Ă  se faire sentir. J'ai donc fait le choix de revenir en France, persuadĂ© que tout se passerait bien et qu'il s'agirait simplement d'une nouvelle vie. Ce que je n'avais pas prĂ©vu c'est le dĂ©calage complet que j'allais avoir avec la sociĂ©tĂ©. Toutes les personnes que j'avais connu lors de ma jeunesse avaient dĂ©sormais une vie rangĂ©e avec femmes, enfants et travail. Mes relations familiales ne s'amĂ©lioreraient jamais et trouver du travail s'est rĂ©vĂ©lĂ© extrĂȘmement compliquĂ© au vu de ma qualification un bac L ça ne sert pas Ă  grand chose et PĂŽle Emploi me conseillant de ne surtout pas parler de mon voyage, mon expĂ©rience pouvant s'apparenter Ă  des vacances au soleil et donner aux recruteurs le sentiment d'une personne instable. Me voilĂ  donc aujourdhui, 4 ans aprĂšs mon retour, vivant dans un appartement minable, effectuant tout les jours un boulot sur une plateforme tĂ©lĂ©phonique depuis maintenant 2 ans qui ne me plait absolument pas et qui ne m'enrichit ni personnellement ni financiĂšrement. EndettĂ© suite Ă  des problĂšmes de santĂ© et avec une furieuse idĂ©e qui continue de faire son chemin comme quoi ce monde n'est pas fait pour moi. Chaque soir je me couche avec cette mĂȘme angoisse de rester figer dans cette situation. Appart minable, boulot minable et finances minables. Le tout assortie d'une phobie administrative contractĂ©e Ă  mon retour en France. N'ayant jamais rĂ©ellement reçu d'Ă©ducation de la part de mes parents et n'ayant absolument aucune expĂ©rience de l'administration française, j'ai toujours le sentiment d'ĂȘtre face Ă  des dizaines de milliers de portes sans aucune clĂ© pour les ouvrir. Je me doute pertinemment qu'une "Ă©chappatoire" miracle n'existe pas mais le fait d'Ă©crire reste aujourdhui mon seul exutoire. Je ne sais mĂȘme pas quel type de rĂ©ponse je peux attendre. Je souhaite avant tout savoir si certaines personnes ont dĂ©jĂ  fait face Ă  ce genre de situations, comment vous en ĂȘtes vous sortis ? En vous remerciant d'avance pour votre lecture.
e7Iy.
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