Onne naît pas parent, on le devient : des ateliers à Guéret pour voir la vie de famille en rose Mercredi 5 février 2020 à 18:30 - Par Marie-Jeanne Delepaul , France Bleu Creuse
Le mot de Simone de Beauvoir est demeuré célèbre On ne naît pas femme, on le devient » Le Deuxième sexe, 1949. Des historiens n’ont pas non plus hésité à l’appliquer à l’éducation et à la culture la paideia des Hellènes de l’Antiquité On ne naît pas grec, on le devient ». Autant de formules héritées de l’auteur latin Tertullien, en passant par l’humaniste Érasme. On pourrait en dire autant des managers, dont le doigté est rarement inné il s’agit au contraire de l’acquérir. Comme dans de très nombreux domaines, il existe des recettes qui fonctionnent et des écueils à éviter. Formation et expérience sont là pour concrétiser dans le réel le manager idéal. Manager au XXIe siècle un contexte houleux ? Indubitablement, la formation au management attire un grand nombre de candidats. Elle vient à la fois répondre à une vocation professionnelle assez répandue chez les jeunes et moins jeunes, et à un besoin essentiel au sein des entreprises sans oublier les institutions !. Pourtant, si elle est nécessaire, la position du manager au sein d’une entreprise au début de ce troisième millénaire n’est pas toujours confortable. De plus en plus, celui-ci est comme pris en tenaille entre les subordonnés qu’il doit encadrer tout en s’efforçant de se présenter en primus inter pares plutôt qu’en supérieur hiérarchique sous un mode martial et ses dirigeants qui attendent des résultats nets et précis. La concurrence est rude entre les entreprises d’un même secteur d’activité, et pas seulement à l’échelon local ou national aujourd’hui, un acteur international peut rapidement faire de l’ombre et provoquer des difficultés pour une entreprise qui n’aura pas eu le temps de le voir venir. Parallèlement, la mesure de la performance a – principalement grâce à l’outil informatique – atteint des niveaux records, mais de façon mathématique et déshumanisée. La tentation est alors grande pour le manager, en apparence implicitement poussé par sa hiérarchie qui attend du chiffre, de se reposer exclusivement ou presque sur ces outils quasi scientifiques ». Il se transforme alors en flic voire en bourreau ; il démotive son groupe là où il croyait pouvoir le mobiliser ; il rend impossible l’attachement des salariés à leur entreprise et il provoque un turn-over permanent au moins pour certaines branches le cas est courant du côté commercial. C’est alors la débandade, qu’il est cependant possible de prévenir à l’aide de la formation adéquate et de quelques astuces. Un management agile et résilient Comme être manager ne s’improvise pas et qu’il faut un début à tout, il convient de ne pas lésiner sur la formation du néophyte qui s’apprête à prendre son premier poste en la matière. Si les connaissances théoriques ont leur importance, l’accompagnement d’un professionnel expérimenté en complément facilite toujours les choses. Parmi les premières vertus d’un manager bon et compétent, il y a sans aucun doute tout un versant humain – psychologique, culturel, etc. Même les armées françaises, qui sont souvent citées en guise d’exemple pour la formation de véritables cadres », mettent l’accent sur la culture générale et les vertus humanistes… Alors que de trop nombreuses entreprises continuent d’ignorer l’évidence ! Hauteur de vue, ouverture d’esprit et magnanimité sont pourtant des qualités qui se travaillent et qui demeurent obligatoires pour exercer un leadership réel et efficace. C’est aussi le prélude idéal à une capacité d’adaptation sans faille accompagner le changement suppose d’être totalement écouté, en confiance. Et l’on n’a jamais fini de se perfectionner sur ces questions, même et surtout ? quand on est en exercice. Ces fondamentaux du management restent en outre des armes de choix lorsqu’il s’agira de gérer d’inévitables conflits. Combien de carrières dans le management, en effet, peuvent prétendre n’avoir jamais fait face à une forme ou une autre de conflit au sein d’une entreprise ? Ce volet humaniste », si l’on peut dire, ne se suffit cependant pas à lui seul. Il ne serait rien ou pas grand-chose si de véritables compétences techniques n’entraient pas en ligne de compte. Ici, une formation de fond est irremplaçable, car le manager doit maîtriser à la perfection le produit de l’entreprise qui l’emploie et que son action tend à promouvoir directement ou indirectement, mais aussi – plus globalement – les tenants et aboutissants du monde des RH. Animer un groupe de travail, maîtriser différentes formes de communication et accompagner les profils atypiques sont autant de compétences annexes à déployer. Des techniques très précises existent également pour remédier à tel ou tel problème vieille de plusieurs millénaires, l’humanité a tendance à reproduire les mêmes schémas… Or, tandis que les mêmes causes produisent inlassablement les mêmes effets, les mêmes remèdes sont toujours plus susceptibles de soigner les mêmes maux !
Onne nait pas père ni mère, on le devient. Qu'il s'agisse d'un enfant biologique, d'un enfant adopté, d'un enfant né d'une PMA ou d'une GPA, c'est l'enfant qui fait le parent. Non l'inverse.
Alors tout d’abord je tenais à vous remercier Clémence Perronnet d’avoir mis en mot cet inéluctable glissement des filles, du scientifique vers le littéraire parce qu’elles étaient “nulles en maths”, ou juste parce qu’elles pensaient ne pas être faites pour ça. Pour moi, s’il ne fallait retenir qu’une seule chose de votre longue et passionnante enquête, c'est que rien n’est inné. Qu’on ne naît pas fort en maths mais qu’on le devient, ou qu’on peut, en tout cas, le devenir. Et ça, disons-le, ça peut s’appliquer à beaucoup de choses dans ce que l’on entreprend dans la vie le curling, le tango, mais aussi la pêche à la truite et probablement l’aqua poney. Non alors, j’ai bien vu que cette chronique s’intitulait “vie de parents” et ça tombe plutôt bien parce que je suis moi-même quatre fois parent alors je vais plutôt parler de ce que je connais. De fait, je vais reprendre votre réflexion à mon compte Clémence en disant que, contrairement à ce que beaucoup de monde semble penser, on ne naît pas non plus parent, mais on le devient. Être parent un apprentissage aussi complexe !Cet apprentissage-là est certainement le plus différent de tous, celui du devenir parent alors qu’il me semble être l’un des plus complexes, l’un des plus engageants, puisqu’il s’agit tout de même, je le rappelle, d’élever des êtres humains afin qu’ils soient des adultes heureux et épanouis comme nous. On doit apprendre à devenir parent ? Hé oui, cela ne vous viendrait pas à l’idée de vous lancer sur une piste noire sans avoir appris à skier sauf si vous êtes très joueur. Et pourtant, lorsque l’enfant paraît, on nous demande de savoir faire avant même d’avoir appris. À peine notre bébé arrivé, à peine posé sur notre ventre, on nous demande d'être parent. Ah non, pardon, on nous demande d’être un bon parent, voire même, un parent parfait. Alors c’est quoi justement un parent parfait ?Ah mais ne me demandez pas, je ne sais pas. En revanche, le monde entier le sait, et se demande pourquoi vous, manifestement vous ne l’êtes pas. Il faudrait donc, sans avoir ni appris, ni même pratiqué, être un parent parfait. Pas de cours magistral, pas de TP, pas d’aide personnalisée. Juste vous, parent autodidacte qui devez apprendre sur le tas. Alors je sens que vous vous demandez quelles sont les compétences requises pour être un parent parfait. Je m’en vais vous citer quelques extraits du référentiel de compétences qui, vous allez le voir, est plutôt exigeant. Validez-vous ces items chez vous ? ● Le parent est capable de changer une couche dans un TGV ● Le parent comprend avec rapidité les raisons qui poussent son enfant à ne pas dormir/à pleurer/à refuser les gnocchis poêlés. ● Le parent réussit à remplir 18 fiches sanitaires et 37 fiches de renseignements pour l’école tout en lançant des lessives et en retrouvant un doudou perdu ● Le parent mobilise sa compétence de décodage en parlant à son adolescent en comprenant les “askip/c’est fumé/je suis ban de discord et de vas-y j’avoue” Sachez-le pourtant, même après 14 ans d’apprentissage intensif je ne coche pas beaucoup de ces compétences parentales selon mes enfants. Par exemple, je ne valide pas la compétence “est hilarante en toute circonstance” lorsque je découvre les serviettes de bain trempées sur le sol de leurs chambres. Si ce n'est pas toujours facile, faites-vous confiance, vous êtes des parents formidables Parce que certains parents se trouvent nuls. Parce que certains parents se disent qu’ils ne sont pas fait pour ça et qu’ils n’y arriveront pas alors que d’autres semblent y arriver de manière totalement naturelle. Parce qu’il y a trop de mères qui font des dépression du post partum entre 15 et 30% d’entre elles selon un sondage réalisé en août 2021 -Opinion Way pour Qare, et il y a trop de pères qui sont à bout. Parce que oui, dans la vie comme en classe lorsqu’on reçoit sa tôle en maths, l'apprentissage est difficile. Le parent se dévalorise, perd confiance en lui en se comparant aux autres alors qu’il a peut être même copié sur son voisin plus doué et il en arrive même parfois à un point où il regretterait presque d’avoir mis au monde des êtres qu’il se sent incapable de gérer. La parentalité nécessite un apprentissage et que l’apprentissage, en classe comme dans la vie, ce sont des situations problèmes, des expériences, des hypothèses et des erreurs. Que parfois on y prend énormément de plaisir et que parfois c’est laborieux. Qu’il faut se faire confiance, parce qu’à force d’expérience, à force d’essais, on finit par y arriver. Être parent, c’est un cheminement et si certains s’imaginent qu’il est linéaire, inné et plutôt naturel, je me plais à penser, moi, qu’il est parfois difficile et sinueux. Qu’il faut, à chaque étape, se faire confiance. Avancer, ses enfants à ses côtés, avec ce qu’on porte sur le dos, avec ce qu'on laisse derrière soi, mais aussi avec ce que l’on rencontre sur la route.
Onne nait pas parent, on le devient par Sylvie Jenaly aux éditions J'ai lu. La gouvernante délivre des conseils pour éduquer les enfants, fondés sur son expérience. Elle souligne l'importance de savoir transmettre des principes, des valLe 25 mai dernier sortait le nouveau Devenir papa, pour les Nuls, sous la direction de Benjamin Muller, journaliste et chroniqueur de la Maison des Maternelles, sur France 2. Un livre co-écrit avec Laure Geisler, médecin généraliste, et Adrien Gantois, président du Collège National des Sages-femmes de France, pour répondre sans tabou à toutes les questions d'un futur père ! Qu'est-ce que ça signifie, être papa, en 2022 ? Leurs conseils, des rendez-vous médicaux, aux maux de la grossesse, de l'accouchement, aux grandes étapes du développement de bébé. C'est maintenant qu'il faut être père !Lors de notre entretien, le journaliste et trois fois papa, Benjamin Muller, nous a confié avoir voulu écrire un livre engagé et rassurant, qui, à travers des pistes de réflexion et des conseils, donnera au futur père les clés pour s'approprier son nouveau rôle. Quel est le rôle du père à travers l’histoire et pourquoi est-ce si important, aujourd’hui, de changer les choses ?Benjamin Muller En fait, on ne naît pas femme, on le devient. On ne naît pas homme, on le devient. On ne naît pas mère, on le devient. Et donc, on ne naît pas père, on le devient ! Instinctivement, il n'y a rien d'inné, la première fois, qu'on se retrouve avec un bébé dans les bras. C'est tout à fait légitime de ne pas ressentir le coup de cœur que certains décrivent, de trouver ça difficile, de trouver ça angoissant, d'être stressé, de ne pas être heureux tout de suite. On a évidemment les mêmes droits pour les femmes, mais aussi pour les qui est très intéressant dans l'évolution de la paternité, et dans l'histoire de la parentalité, c'est qu'on est dans une toute petite période aujourd'hui, où les choses sont en train d'évoluer, très vite. Au cours des 99 % du reste de l'humanité, en gros, les hommes ne s'occupaient pas, ou peu, ou mal, des enfants. En ce moment, on est pile dans une période charnière où tout est en train de changer. C'est formidable, mais il y a encore beaucoup de travail et encore beaucoup de choses qui doivent évoluer ! Là, messieurs, on a trop de chance, on est dans la bonne période, il faut être père en ce moment, c'est maintenant que ça vaut le coup !Benjamin Muller Évidemment, chaque couple aura des envies et des besoins différents en termes d'investissements. Dans l'idéal, c'est bien si les futurs papas s'investissent, dès le début de la grossesse. Ces 9 mois ne sont pas réservés à Madame, pendant que Monsieur attend de son côté. Non, c'est bien de s'intéresser, c'est bien d'essayer de comprendre ce qui se passe dans le corps de la femme, tout simplement. Je le dis d'autant plus que moi, les grossesses de ma femme, en tout cas la première, je n'avais aucune idée de ce qui se passait, vraiment. On apprend. S'intéresser, c'est poser des questions. C'est se renseigner, via des sites internet, via des émissions de télé, via des livres. Et puis aussi, dans la mesure du possible, c'est aller aux différents rendez-vous, aux échographies, rencontrer les équipes de la maternité... Il ne faut vraiment pas hésiter à poser des questions. En fait, il n'y a pas de mauvaises manière de se préparer, selon moi, c'est de ne pas hésiter à en parler à vos potes, messieurs ! Je ne sais pas pourquoi les hommes ont une forme de pudeur masculine bizarre sur ces sujets. Ça, c'est quelque chose qui doit changer. C'est un tabou qui doit changer. Entre potes, on se pose des questions Mais toi, les échographies, est-ce que tu étais stressé ? », Toi, quand ta femme avait la gerbe pendant les trois premiers mois, comment tu faisais pour l'aider ? ». Parlons de ça, messieurs !Pourquoi le rôle du second parent est essentiel dans le post-partum ?Benjamin Muller Ce qui est génial, là aussi dans la période que l'on vit, c'est qu'on parle de plus en plus du post-partum. Ce qui n'a pas toujours été le cas. Maintenant, j'ai l'impression que c'est moins tabou, notamment grâce aux nombreuses prises de paroles sur Instagram, où il y a de nombreuses femmes qui racontent la réalité du post-partum et à quel point c'est dur. Donc là, les co-parents, on n'a plus d'excuses ! Même si on sait que le post-partum existe, c'est important de se renseigner avant l'accouchement pour ne pas tomber de haut, pour comprendre ce qui est en train de se jouer, et alors, le meilleur accompagnement, je pense que c'est déjà de montrer qu'on est présent, qu'on est compréhensif et qu'on est à l' ne faut pas hésiter non plus à demander aux femmes Comment je peux t'aider ? », tout simplement. Il ne faut pas, par exemple, partir de ce principe Alors attends, c'est moi qui vais tout régler, je suis ton psychologue », non, pas du tout. Mais en revanche, il ne faut pas hésiter à lui faire comprendre qu'on est là pour les difficultés qu'elle peut rencontrer. Et puis une petite phrase qui marche bien, c'est Tu sais, je crois que c'est normal ce que tu vis ». Il faut le dire avec précaution, jamais pour minimiser ses douleurs. Mais pour lui rappeler qu'elle n'est pas la seule Je crois que beaucoup de gens le vivent. C'est normal, ça va passer, ça ne veut pas dire que t'es une mauvaise mère, ça ne veut pas dire qu'on est un couple foutu ». Voilà, essayez d'être positif, c'est bien d'être positif pendant la période du conseil que j'aurais aimé qu'on me donne, c'est ça va bien se passer, ça va bien se passer. Un truc tout bête !Un conseil pour les futurs papas ?Benjamin Muller Le conseil que j'aurais aimé qu'on me donne, c'est ça va bien se passer, ça va bien se passer. Un truc tout bête ! Je veux dire, les conseils trop précis ou les questions du type Quoi, tu fais comme-ci pour l'endormir ? », ou alors Attends, mais tu ne lui donnes pas le biberon ? », ou encore Quoi, ta femme n'allaite pas ? »... C'est pénible. Ne donnez pas ce genre de revanche, le bon conseil, c'est Keep Cool. Tout est nouveau, donc tout va être stressant. Le premier bain va être stressant. Le retour à la maison va être stressant. Le premier voyage en voiture va être stressant. Tout est récent, c'est normal, c'est nouveau ! Mais tout est stressant, ne veut pas dire que tout va mal se passer. Et moi, mon propos est plutôt de dire que si vous prenez le temps, si vous ne vous mettez pas trop la pression, si vous vous écoutez les uns et les autres, si vous êtes bienveillant avec l'autre et avec vous-même, ça va bien se passer, j'en suis qui vous a le plus marqué pour la première grossesse de votre femme ?Benjamin Muller Ce qui m'a le plus marqué lors de la première grossesse de ma femme, c'est que, j'étais jeune, j'avais 25 ans, j'allais aux rendez-vous, et à chaque fois que je posais des questions au médecin, au sage-femme systématiquement, il me regardait, puis se tournait vers ma femme et lui répondait à elle. Je me disais Mais il ne m'a pas vu ou quoi ? ». Je reprenais, je disais Nan, mais juste, je me demandais la péridurale, c'est quoi ? Je ne connais rien. » Et puis hop, il répondait à ma femme. Alors, je comprends qu'il s'adresse à Madame, mais moi, j'avais l'impression de ne pas grossesse, troisième grossesse... Je peux vous dire qu'à chaque fois, je rappelais que ce n'est pas parce que je suis l'homme, qu'on ne peut pas s'adresser à moi ! Je le disais avec le sourire bien sûr et souvent, les équipes médicales comprenaient qu’on trouve dans Devenir papa, pour les Nuls » ?Benjamin Muller Ce livre s'adresse aux futurs et aux jeunes papas. Et la promesse, c'est de répondre à toutes les questions que peuvent se poser les hommes, et les femmes aussi d'ailleurs, pendant cette période, qui va du test de grossesse positif, jusqu'aux deux ans de l'enfant. L'idée, c'est qu'à chacune des questions possibles, il puisse y avoir une qui était hyper important pour moi, c'est de montrer que les choses sont en train d'évoluer l'importance du partage des tâches ménagères, de la charge mentale, de qui s'occupe des enfants... Il y a des choses qui existaient encore il y a une génération ou deux, qui existent encore beaucoup trop dans ce pays, mais qui existent de moins en moins. Comme l'idée de la femme qui se tape tout et de l'homme qui est là juste pour faire des petites blagues. On ne peut plus aller vers ça. Notre génération ne peut plus cautionner ça, il faut se battre ! Tout le monde doit se battre pour que les choses évoluent. Les choses sont en train de changer. Moi, je voulais dans ce livre, qu'à chaque phrase, ça se petit mot pour la fin ?Benjamin Muller Je veux bien dire un mot aux femmes qui nous regardent parce que, les pères, ça y est, ils ont compris que je m'adresse à eux. Je n'aime pas les injonctions. Je n'aime pas dire aux gens ce qu'il faut faire. Chacun fait comme il peut. Ce qui est important dans les couples, c'est de hommes vont dire Moi, je suis impliqué à fond. Évidemment, il n'y a pas de sujet. Les hommes, les femmes, tout le monde s'occupe des enfants, mais ma femme, elle a du mal à lâcher et à certains moments, elle n'y arrive plus, elle dit toujours qu'elle va mieux faire et elle n'arrive pas à lâcher. » Je crois que c'est quelque chose d'assez classique. Je comprends tout à fait. Qui plus est quand on a porté le bébé pendant neuf mois !Mais c'est un travail important qui va dans le sens de l'équilibre, du partage et aussi, pour aider ces messieurs à prendre confiance en eux. Je pense qu'il faut réussir par moment à dire Ok, on va le laisser faire le monsieur. S'il ne fait pas comme j'aurais aimé qu'il fasse, ce n'est pas grave. » Les rôles de parents se construisent aussi comme ça, en étant parfois avec son bébé. Donc c'est valable pour les femmes, mais aussi pour les hommes.Onne nait pas parent, on le devient - facebook.comQuatrième de couverture On ne naît pas parent, on le devient J'ai vu tant de familles où la joie de vivre avait disparu. J'ai vu tant de mères avouer en larmes qu'elles ne supportaient plus leurs enfants. J'ai vu des enfants pousser leurs parents à bout avec une détermination impressionnante. J'ai vu des enfants se taper, s'insulter, dans des hurlements incessants...Et pourtant, rien n'est jamais perdu ! Car être parent n'est pas inné. Cela s'apprend. On a beau avoir toute l'envie du monde, si on ne possède pas quelques clés, on commet des fil de ces pages, j'ai voulu vous transmettre tous mes conseils, toutes mes réflexions pour vous aider à retrouver, à la maison, le chemin du bonheur et de l' foyer où parents et enfants s'épanouissent. Où chacun trouve sa place et réalise son rêve de famille. »BiographieAprès avoir été longtemps gouvernante d'enfants, Sylvie Jenaly est devenue la Super Nanny de l'émission de NT1 et TF1. Son immersion dans des familles désemparées, et parfois au bord de la crise de nerfs, lui a apporté une expérience incomparable qu'elle a souhaité partager dans ce livre. Mère de deux enfants, elle vit en Haute-Savoie.
Onne naît pas parent, on le devient. Le témoignage et les conseils de Super Nanny. Gouvernante d'enfants, Sylvie Jenaly est devenue Super Nanny. Dans cet ouvrage, elle a voulu témoigner de son expérience incomparable et transmettre
Lassociation Filea a organisé mardi soir, au centre Savidan, une conférence sur un thème plébiscité par les parents : «Etre parent aujourd'hui de la naissance à l'adolescence».
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